Je ne sais pas vous ...

[CEW 66]

Et le rapport avec Liège JP ?

je ne savais pas ou le mettre ,

[Air Jipé]

Ce soir, souper fromage. Gouda tomate et gouda lavande.
On est supporter, ou on ne l'est pas !!!

[CEW 66]

Bonfigli: «Mon rêve? Papoter avec Baggio»

Aujourd'hui 06:00 A.R.


Alors qu’il vient de franchir le cap symbolique des 40 ans, le Neupréen n’est pas repu. Le foot le fascine encore.


Si Emiliano Bonfigli avait été footballeur professionnel, son palmarès serait un des plus beaux du monde. Sept finales de Ligue des Champions dont la première en 2009 « et une 8e qui est déjà organisée à Madrid le 1er juin prochain», deux Coupes du monde, un Euro. Mais une faim qui, à 40 ans, est identique à celle de ses débuts. «Il y a toujours cette excitation quand je prépare un match ou qu’il commence, assure le Neupréen. Je n’ai pas du tout fait le tour de la question. Je vous le garantis. Quand j’assiste par exemple à un Ajax-Real, je redeviens un enfant…»

Il pourrait faire un livre avec les souvenirs récoltés jusqu’ici. Deux même. «En termes de foot pur, ma plus belle finale de LC, c’est celle de 2011 entre le Barça et Manchester United, confie-t-il. Un niveau phénoménal. Je retiens aussi celle de 2013 entre Dortmund et le Bayern Munich à Wembley mais pour d’autres raisons. Je fais l’interview de Daniel Van Buyten après la rencontre quand Mario Mandžukic passe à côté de moi. Il avait arraché une partie du filet et l’avait laissé tomber. J’ai voulu lui rendre mais il était déjà parti. J’ai donc gardé un bout de filet chez moi à la maison… (rires).»

Buffon pour une interview spéciale à Turin, Trezeguet, Zidane, Ronaldo, Messi, Zico, Lineker, Pogba et une foule d’autres. Les stars font partie de son quotidien. Mais la boucle ne sera vraiment bouclée que le jour où… « Je râle déjà d’avoir loupé Alessandro Del Piero il y a peu, mais le jour où je pourrai parler quelques minutes avec Roberto Baggio, mon idole de toujours, j’aurai accompli mon rêve ultime, dit Emiliano, les étoiles (de la Ligue des Champions) plein les yeux. C’est lui qui m’a fait aimer le foot.

Un foot, c’est vrai, qui a fort changé. Aujourd’hui, la Ligue des Champions est bien loin du foot de mon enfance où le RFC Liège (NDLR: son club de cœur, il ne s’en cache pas) éliminait Benfica, finaliste européen la saison avant… Mais le ballon rond reste mon insatiable maîtresse… »

[jps]

Un professeur de philo est debout face aux élèves et quelques accessoires sont déposés devant lui.
Quand le cours commence, sans un mot, il prend un gros pot en verre vide et commence à le remplir avec des cailloux plats de 5 cm de diamètre.

Il demande alors aux étudiants si le pot est plein.
Ils répondent par l'affirmative.
Le prof prend alors une boîte de lentilles et verse son contenu dans le bocal, il le secoue en peu et les lentilles remplissent bien sur les espaces entre les cailloux.
Il demande aux élèves si le pot est plein , réponse positive.

Le prof prend alors une boîte de sable et la verse dans le pot, évidement le sable comble les trous.

Il demande une nouvelle fois si le bocal est plein, la réponse est unanime oui

Le prof attrape alors deux cannettes de Jupiler en dessous de son bureaux et verse leur contenu dans le pot, complétant ainsi l'espace libre laissé par le sable .

Les étudiants rient.

Maintenant dit le prof, alors que les étudiants continuent de rire, je voudrais que vous considériez que ce pot représente votre vie.

Les cailloux sont les choses importantes-votre famille, votre épouse, votre santé, vos enfants-celle qui contribueraient à remplir votre vie si tout le reste avait disparu

Les lentilles représentent les autres choses importantes comme votre travail, votre maison, votre voiture

Le sable correspond à tout le reste-les petites choses.


Si vous mettez d'abord le sable dans le bocal, poursuit-il, il ne restera plus de place pour les lentilles ou les cailloux.
C'est pareil pour votre vie, si vous consacrez votre temps et votre énergie aux choses secondaires, vous ne pourrez plus vous occuper des choses importantes;

Soyez attentifs à tout ce qui est essentiel à votre bonheur.

Jouez avec vos enfants, profitez de la vie il restera toujours du temps pour travailler ,faire le ménage, donner un diner et tout rangé après.

Considérez les cailloux avant tout le reste-les choses vraiment importantes, définissez vos priorités, le reste n'est que du sable.

Une étudiante lève le bras et demande ce que la bière est censée représenté

Le prof sourit. e suis content que tu me pose la question

C'est pour montré que même si votre vie semble bien remplie, il y a toujours de la place pour une ou deux Jupiler

Article dans le journal des anciens de l'école hôtelière de Liège


.

[jps]

André Marchandise, le discounter qui s'ennuyait

Il a fait fortune dans le commerce de détail mais a fini par s’en lasser. André Marchandise a fini par investir dans la médecine intégrative. Une activité que le Belge dit philanthropique. A Estavayer-le-Lac, il vient d’inaugurer un centre de soins devisé à 27 millions de francs

[jps]

Il a un homonyme qui préside un club de pétanque dans les Ardennes, et un autre qui est photographe en Belgique. Cet André Marchandise là, c’est celui qui a inauguré mercredi à Estavayer-le-Lac (FR) la nouvelle aile de son centre de santé La Pierre Blanche. Spécialisé en médecine intégrative – une approche combinant médecines conventionnelle et complémentaire –, le bâtiment a coûté 27 millions de francs, payés de la poche du septuagénaire.

Le mécène est Liégois (Belgique), mais il réside depuis près de vingt ans en Suisse, actuellement du côté de Pully (VD). Il n’a concédé que peu d’interviews depuis son retrait des affaires en 2004. Mais cela n’a pas empêché le magazine économique Bilan de le classer parmi les 300 plus riches de Suisse, avec une fortune estimée en 2017 entre 200 et 300 millions de francs. Des chiffres qu’il réfute: «J’ai appelé la rédaction pour leur dire que c’était faux. J’ai vendu Trafic, et puis j’ai tellement donné d’argent ici et là.»

Ce destin qui nous domine
Trafic, c’est la chaîne de magasins low cost qui lui a permis de faire fortune en Belgique. Ou, comme il le dit, de se «faire un petit matelas». C’était juste après le décès de son père, alors qu’il n’était âgé que de 21 ans. Aîné d’une fratrie de cinq, il lâche ses études pour reprendre les six supérettes alimentaires de la famille parce qu’on «a tous un destin qui parfois nous domine».

Et quand on porte le patronyme de Marchandise, ce destin se présente parfois sous la forme d’un outlet, au détour d’un voyage à Atlanta. Il y découvre un nouveau modèle d’affaires qu’il importe en Belgique. «Il y avait deux magasins vendant des choses identiques. L’un prenait 17% de marge, l’autre 23%. Devinez lequel était plein?» sourit-il.

De retour de Belgique, il se débarrasse des supérettes et réinvesti dans sa propre chaîne de magasins low cost en 1983. Spécialisé dans le textile et les produits de type bazar, Trafic atteint, en 2016, 84 enseignes à travers la Belgique, la France et le grand-duché de Luxembourg. Le marché est aujourd’hui saturé, selon André Marchandise qui n’est, lui, plus à bord depuis une décennie: «Je m’ennuyais. Ce qui m’intéresse, c’est le développement», concède-t-il.

Devenir autre chose qu’un discounter
Le septuagénaire concède qu'il ne comprend plus grand-chose à l’e-commerce parce que «tout évolue tellement vite» et que les hypermarchés doivent réinventer le modèle qui leur avait permis de «disrupter» les argenteries et les maroquineries.

Lire aussi: Derrière les dollars de l’e-commerce

Les chantres du dropshipping et de l’argent décomplexé? André Marchandise a vaguement entendu parler de ces vendeurs 4.0 qui ont adapté à l’e-commerce le modèle qui lui a réussi. Il affirme toutefois qu’on «ne peut pas faire de l’argent sans mettre des valeurs derrière» puis enchaîne en brandissant une citation sur le «destin des civilisations», qui dépérissent quand le progrès technologique est plus rapide que la réflexion éthique. «Le plaisir de vivre n’a jamais été aussi bas en Occident», assène-t-il.

Lui a en tout cas choisi de devenir autre chose qu’un discounter. Après un passage par des fonds immobiliers qui le rapprochent de la Suisse et ses montagnes, le natif du Plat Pays décide de s’y établir parce qu’il a toujours «rêvé d’y finir [s]es jours».

Conscience et dette de vie
En attendant, comme il ne peut se contenter de randonnées et d’ornithologie, il devient actionnaire majoritaire du centre de santé La Corbière en 2014. Il le renommera La Pierre Blanche après avoir acheté le château attenant en 2016 pour y installer un programme de réadaptation oncologique, puis lancé 18 mois de travaux pour construire un pavillon consacré aux soins médico-thérapeutiques. Gestion du stress, acupuncture ou homéopathie: des programmes tarifés entre 990 et 6500 francs la semaine. C’est le bâtiment que le mécène est venu inaugurer mercredi.

Le millionnaire avait-il une dette morale à rembourser? Sur son siège couleur cardinal, devant l’une de ces entrées en bois qui accueillent déjà les premiers patients, André Marchandise ne mentionne que le «plaisir de l’innovation». Mais aussi: une étape normale parce que «la vie nous impose d’aller chercher la meilleure partie de nous-mêmes».

Son côté prophète New Age, il l’assume totalement. D’autant qu’il a installé une partie de sa bibliothèque personnelle à La Pierre Blanche: 1550 livres sur la rémission en neuf points, la méditation ou le yoga. «Pendant mes réunions professionnelles, des gens me disaient parfois qu’ils avaient l’impression d’être entrés dans une secte, se souvient-il. Mais aucun de mes cadres ne m’a jamais quitté.»

[JoeDalton]

On ne mentionne pas son action philanthropique en faveur du sport et de la culture à Liège

[CEW 66]

Idem que Joe.

Et...

...S’il a un tant soit peu encore d’honnêteté, qu’il verse un petit pourcentage de sa fortune (en partie très mal acquise sur notre dos) à la société du stade !

[Air Jipé]

Qu'il explose là où il se trouve, grosse saloperie.

[Air Jipé]

Idem que Joe.

Et...

...S’il a un tant soit peu encore d’honnêteté, qu’il verse un petit pourcentage de sa fortune (en partie très mal acquise sur notre dos) à la société du stade !

Qu'il garde son fric puant, le gros merdeux. Même s'il payait un stade flambant neuf, je ne changerais pas d'avis sur lui. AUCUN PARDON pour ce voyou.

[Jeanmi]

Pourquoi cet article ici? C'est le topic des supporters de Liège, quel rapport avec cette ordure?

[CEW 66]

Idem que Joe.

Et...

...S’il a un tant soit peu encore d’honnêteté, qu’il verse un petit pourcentage de sa fortune (en partie très mal acquise sur notre dos) à la société du stade !

Qu'il garde son fric puant, le gros merdeux. Même s'il payait un stade flambant neuf, je ne changerais pas d'avis sur lui. AUCUN PARDON pour ce voyou.

Pragmatisme.... utopique.
Aucun pardon évidemment.

[Screech]

André Marchandise qui est décédé en 2012 était le papa de Joël, le plus grand palmarès de la région, ce tireur d'exception originaire de Huy, plusieurs fois champion de Belgique, champion du monde junior et vice champion du monde senior et il vient d'être vice champion d'Europe.
Pour en revenir à André, il fut dans le comité de certains clubs de la région, il avait remporté le tournoi La Liégeoise sur le boulevard d'Avroy en 1994 avec son fils Jöel et Rosario Scifo, c'était la grande époque du PC Capri. Chaque année se joue un challenge en son nom.

[CEW 66]

Ce matin dans la salle d'attente de mon kiné.
Un Monsieur d'une cinquantaine d'années…
J'ai mon sweat RFCL.

- Vous supportez Liège ?
- Oui (dans tous les sens du terme )
- Moi j'y ai été abonné avec mes deux frères des années.
- Vous n'y allez plus.
- Non, on a suivi Tilleur-Liège jusqu'en 1997 puis on s'en est éloigné. J'ai perdu mon aîné mais mon frère et moi ne sommes jamais allé à Rocourt…
- Et ça ne vous intéresse pas par curiosité ?
- Non, quand on a connu le vélodrome, l'Europe ou même Tilleur plein à craquer c'est dur de se motiver pour aller en "D3 ou en promotion" voir des joueurs qu'on ne connait pas
- Il y a une bonne ambiance et des anciens


Et là, le drame :

- Je ne m'intéresse plus trop au foot belge, à part les diables . Mon frère est devenu fan de... Bruges Mais si Liège revenait en D1, on y retournerai probablement de temps en temps


Ca m'emmerde.... TOUJOURS les mêmes excuses et/ou conditions

[gaston1]

Ce matin dans la salle d'attente de mon kiné.
Un Monsieur d'une cinquantaine d'années…
J'ai mon sweat RFCL.

- Vous supportez Liège ?
- Oui (dans tous les sens du terme )
- Moi j'y ai été abonné avec mes deux frères des années.
- Vous n'y allez plus.
- Non, on a suivi Tilleur-Liège jusqu'en 1997 puis on s'en est éloigné. J'ai perdu mon aîné mais mon frère et moi ne sommes jamais allé à Rocourt…
- Et ça ne vous intéresse pas par curiosité ?
- Non, quand on a connu le vélodrome, l'Europe ou même Tilleur plein à craquer c'est dur de se motiver pour aller en "D3 ou en promotion" voir des joueurs qu'on ne connait pas
- Il y a une bonne ambiance et des anciens


Et là, le drame :

- Je ne m'intéresse plus trop au foot belge, à part les diables . Mon frère est devenu fan de... Bruges Mais si Liège revenait en D1, on y retournerai probablement de temps en temps


Ca m'emmerde.... TOUJOURS les mêmes excuses et/ou conditions

Et quand on sera en d1 ils diront le foot ne m'intéresse plus...cest comme ceux qui disent que si on retournait à Rocourt on reviendra.... je serais surpris de connaitre le pourcentage des gens qui ont dis "on reviendra que si on est a rocourt "et qui ont tenu parole en venant voir plusieurs matchs de championnat....(a mon avis pas beaucoup)

[CEW 66]

Tu as raison. Je le crains

[Air Jipé]

Un quart de siècle ça commence à peser lourd même pour les plus fidèles.

[Jeanmi]

Les pires, ce sont ceux qui sont allé chez les reux...

[Air Jipé]

Les pires, ce sont ceux qui sont allé chez les reux...

Je ne te le fais pas dire.

Mais pire encore, ce sont ceux qui suivent encore le club et qui n'arrêtent pas de ch*** dans la soupière.

[hraskinet]

Les pires, ce sont ceux qui sont allé chez les reux...

Je ne te le fais pas dire.

Mais pire encore, ce sont ceux qui suivent encore le club et qui n'arrêtent pas de ch*** dans la soupière.

Ce sont les pires.