Mercato 2024-2025
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jeanluc
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Re: Mercato 2024-2025
dans ce que j'ai ecrit il n'y a rien de rasisme ou autre que se soit c'est juste une constatation qui se passe dans les autres clubs et aucunement aucune insulte de ma part peut etre que ceux qui on pensé a cela se regarde dans un miroir
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zapok
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Re: Mercato 2024-2025
Ce n etait donc pas du second degré .
okokokok JLuc....C est moi qui vois le mal partout ......Ou pas ...
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Herbi
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Re: Mercato 2024-2025
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Mortimer
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JoeDalton
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Don Camillo
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Air Jipé
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Re: Mercato 2024-2025
M'Perbet ou Abdelkader Taccini, un des deux.
Un attaquant qui circule pour appeller des ballons, un gars qui babouche beaucoup. Le genre de type que tu vois sur ta gauche et une seconde après il est d'jà là-bas, sur ta droite.
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JoeDalton
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Re: Mercato 2024-2025
RFC Liège (D1B) | Gaëtan Englebert à propos d’Alexis Lefebvre : « Comme n’importe quel attaquant, il doit se sentir bien pour être efficace »
Avant de se rendre à Geel, ce dimanche soir (19h15), pour défier Jong Genk, le coach du RFC Liège est revenu sur l’arrivée d’Alexis Lefebvre, un jeune attaquant français formé à Troyes.
Gaëtan, comment jugez-vous l’intégration d’Alexis Lefebvre ?
Que ce soit physiquement ou au niveau de son apprentissage, tout se déroule bien. Il est prêt.
Il nous a expliqué que, lorsqu’il est aligné en pointe, il aime bien être associé à un autre attaquant. Peut-il être complémentaire avec Zakaria Atteri?
Ce sont des profils complètement opposés, l’un aime être dos au but et sait garder un ballon pour faire jouer ses partenaires, l’autre préfère prendre la profondeur et utiliser sa vitesse. C’était le profil recherché et c’est un footballeur qui a déjà démontré à un certain niveau qu’il pouvait être intéressant pour un collectif. Il faut maintenant qu’il s’intègre et qu’il reçoive la confiance du staff et du groupe. Car, comme n’importe quel attaquant, il doit se sentir bien pour être efficace.
Comment l’avez-vous repéré ?
Via des joueurs qui sont disponibles et que nous voyons au départ à travers les agents. Il y a les images reçues et celles de Wyscout (NDLR : plateforme d’analyse) et nous avons ensuite pris nos renseignements auprès d’Antoine Sibierski, le directeur sportif de Troyes…
Et puis, il faut être clair : le club a les moyens dont il dispose et le recrutement s’effectue en fonction de ça. Il n’y a aucune honte à dire que c’est peut-être un joueur qui a moins d’expérience que d’autres et qui a encore certaines choses à prouver. C’est d’ailleurs ce que nous devons rechercher en tant que club, il faut découvrir et former des éléments qui pourront, d’abord, apporter un plus à l’équipe et devenir éventuellement intéressant sur le plan financier plus tard.
Comme Adriano Bertaccini ?
Voilà. Maintenant, quand on inscrit une trentaine de goals en Nationale 1, qu’on provient de la région de Charleroi et qu’on connaît le club, c’est sans doute un peu plus facile. Nous, nous demandons juste à disposer de profils différents qui nous permettent d’apporter quelque chose au coup d’envoi ou en cours de match. Je le répète, nous avons certains moyens pour mener à bien notre mercato et nous ne sommes pas en mesure, comme d’autres écuries de la série, d’aller recruter à gauche et à droite. Tout le monde est d’accord là-dessus, le staff, les joueurs et, bien évidemment la direction, et à partir de ce moment-là, il faut faire en sorte que tout se passe du mieux possible.
Comment s’est déroulée la semaine après cette défaite initiale face à Eupen ?
Vraiment bien. Nous nous entraînons toujours le jour qui suit une rencontre. Soit pour profiter d’une victoire et de la bonne humeur ambiante soit pour parler encore un peu de la défaite et vite se préparer à la prochaine échéance. Nous savons que nous aurions pu être un peu meilleurs contre les germanophones, mais quand une équipe comme celle d’Eupen évolue à ce niveau-là, il faut que les planètes s’alignent pour réaliser une performance. Surtout en début de saison, avec des nouveaux éléments et quelques blessés. En face, il y avait un bloc bien en place, avec dix joueurs qui restaient sur une saison entière disputée en D1A. Il est donc normal de voir une différence. Sans oublier les quelques petits faits de match qui font que, sur cinq minutes, tout le monde a pris un coup sur la tête.
(La Meuse 24/8/2024)
Avant de se rendre à Geel, ce dimanche soir (19h15), pour défier Jong Genk, le coach du RFC Liège est revenu sur l’arrivée d’Alexis Lefebvre, un jeune attaquant français formé à Troyes.
Gaëtan, comment jugez-vous l’intégration d’Alexis Lefebvre ?
Que ce soit physiquement ou au niveau de son apprentissage, tout se déroule bien. Il est prêt.
Il nous a expliqué que, lorsqu’il est aligné en pointe, il aime bien être associé à un autre attaquant. Peut-il être complémentaire avec Zakaria Atteri?
Ce sont des profils complètement opposés, l’un aime être dos au but et sait garder un ballon pour faire jouer ses partenaires, l’autre préfère prendre la profondeur et utiliser sa vitesse. C’était le profil recherché et c’est un footballeur qui a déjà démontré à un certain niveau qu’il pouvait être intéressant pour un collectif. Il faut maintenant qu’il s’intègre et qu’il reçoive la confiance du staff et du groupe. Car, comme n’importe quel attaquant, il doit se sentir bien pour être efficace.
Comment l’avez-vous repéré ?
Via des joueurs qui sont disponibles et que nous voyons au départ à travers les agents. Il y a les images reçues et celles de Wyscout (NDLR : plateforme d’analyse) et nous avons ensuite pris nos renseignements auprès d’Antoine Sibierski, le directeur sportif de Troyes…
Et puis, il faut être clair : le club a les moyens dont il dispose et le recrutement s’effectue en fonction de ça. Il n’y a aucune honte à dire que c’est peut-être un joueur qui a moins d’expérience que d’autres et qui a encore certaines choses à prouver. C’est d’ailleurs ce que nous devons rechercher en tant que club, il faut découvrir et former des éléments qui pourront, d’abord, apporter un plus à l’équipe et devenir éventuellement intéressant sur le plan financier plus tard.
Comme Adriano Bertaccini ?
Voilà. Maintenant, quand on inscrit une trentaine de goals en Nationale 1, qu’on provient de la région de Charleroi et qu’on connaît le club, c’est sans doute un peu plus facile. Nous, nous demandons juste à disposer de profils différents qui nous permettent d’apporter quelque chose au coup d’envoi ou en cours de match. Je le répète, nous avons certains moyens pour mener à bien notre mercato et nous ne sommes pas en mesure, comme d’autres écuries de la série, d’aller recruter à gauche et à droite. Tout le monde est d’accord là-dessus, le staff, les joueurs et, bien évidemment la direction, et à partir de ce moment-là, il faut faire en sorte que tout se passe du mieux possible.
Comment s’est déroulée la semaine après cette défaite initiale face à Eupen ?
Vraiment bien. Nous nous entraînons toujours le jour qui suit une rencontre. Soit pour profiter d’une victoire et de la bonne humeur ambiante soit pour parler encore un peu de la défaite et vite se préparer à la prochaine échéance. Nous savons que nous aurions pu être un peu meilleurs contre les germanophones, mais quand une équipe comme celle d’Eupen évolue à ce niveau-là, il faut que les planètes s’alignent pour réaliser une performance. Surtout en début de saison, avec des nouveaux éléments et quelques blessés. En face, il y avait un bloc bien en place, avec dix joueurs qui restaient sur une saison entière disputée en D1A. Il est donc normal de voir une différence. Sans oublier les quelques petits faits de match qui font que, sur cinq minutes, tout le monde a pris un coup sur la tête.
(La Meuse 24/8/2024)
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JoeDalton
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Re: Mercato 2024-2025
D1B | Alexis Lefebvre, un « p’tit vélo » déterminé à se faire un (autre) nom au RFC Liège : « J’aime les grandes ambiances, quand il y a une pression positive »
Alexis Lefebvre, arrivé cette semaine à Rocourt, a déjà pris ses marques et se dit opérationnel d’entrée. Mais avant de défier Jong Genk, ce dimanche (19h15), à Geel, l’attaquant français se dévoile.
Ce sont des jours qui comptent dans une carrière et qui peuvent même, parfois, vous révéler : Alexis Lefebvre, vingt et un ans, a quitté Troyes (Ligue 2), son club formateur, pour rallier la Cité ardente et écrire un premier chapitre à l’étranger dans son livre personnel.
Et s’il est trop tôt pour mesurer l’impact que cette expatriation aura sur ses performances, le jeune homme semble avancer sereinement sur le chemin de l’intégration, au sein d’un club liégeois porté par des valeurs familiales et un public bouillant.
« Honnêtement, je n’avais pas beaucoup entendu parler du RFC Liège », glisse-t-il. « Quand mes agents ont évoqué un intérêt de la part des Sang et Marine, je me suis renseigné et j’ai rapidement compris qu’il s’agissait d’un club historique. Le projet m’a séduit et j’ai envie d’apporter mes qualités à l’équipe. »
À commencer par une sacrée vitesse, comme en témoigne le sobriquet de « p’tit vélo » que nos confrères de l’Est Républicain lui ont attribué lors de son double passage en prêt à Nancy.
« C’est vrai que c’est un de mes grands atouts, je vais très vite, avec ma taille, mes petits appuis, et cela peut être impressionnant… J’avais ce surnom en France, j’espère en avoir un autre ici (sourire). »
Retrouver des bonnes sensations
Avec un contrat de trois ans en poche, l’avant-centre français, qui peut être aligné sur les côtés ou en pointe, a bien perçu la confiance que la direction principautaire a placée en lui et se dit prêt à participer au remaniement offensif espéré.
« Je suis opérationnel », assure-t-il. « Si on excepte une légère blessure au pied, j’ai effectué toute la préparation avec Troyes et je me sens bien physiquement. Après, je dois retrouver des bonnes sensations. Il y a longtemps que je n’avais pas évolué sur un terrain synthétique, par exemple. Pour le reste, mes partenaires m’ont bien accueilli. J’appréhendais un peu le fait de débarquer dans un environnement inconnu, mais les autres cherchent aussi à me découvrir. C’est cool. »
Alexis Lefebvre vient ainsi gonfler la petite colonie des Français au sein du vestiaire liégeois : « J’ai côtoyé Flavio (Da Silva) durant ma formation il y a quelques années. Et c’est bien en termes de communication de pouvoir compter sur mes compatriotes car il y a des mots de votre vocabulaire que je ne comprends pas (rires). Il faut me laisser le temps de les mémoriser. »
Il y avait une belle ferveur dans le stade de Nancy, avec près de dix mille supporters, et je sais qu’il existe également un très bel engouement populaire ici, j’ai eu de bons échos à ce sujet
Alexis Lefebvre
On l’a compris, on le sent, Alexis Lefebvre a fait le pari de l’optimisme, alors qu’il aurait très bien pu tomber dans une zone de fatalisme suite à son départ de l’ESTAC.
« Des regrets ? Oui, un peu, car j’aurais pu apporter une touche en plus au club… Le foot est cependant une question de choix et il faut les accepter. J’ai déjà tiré un trait sur ça, même si je continuerai à être supporter de Troyes et à suivre ses résultats. Là, je suis focus sur le RFCL et impatient de m’y investir. »
Et s’il ne sait pas encore dans quel rôle Gaëtan Englebert compte l’utiliser, le Tricolore entend « donner tout ce que j’ai » pour réussir et permettre aux supporters du matricule 4 de faire le plein d’émotions : « Il y avait une belle ferveur dans le stade de Nancy, avec près de dix mille supporters, et je sais qu’il existe également un très bel engouement populaire ici, j’ai eu de bons échos à ce sujet. Tant mieux, il y a de la pression et c’est ce que j’aime. C’est de la pression positive ! »
Les vertus du travail
Le RFC Liège, qui se déplace ce dimanche soir (19h15) à Geel, afin d’en découdre avec Jong Genk, victorieux du RFC Seraing lors de la journée inaugurale de Challenger Pro League, est face à un nouveau sommet à gravir et son nouveau « p’tit vélo » en a sous la pédale.
« Quand je suis en confiance, je suis assez habile devant le but », assure encore Alexis Lefebvre qui évoque une possible association avec Zakaria Atteri. « De ce que j’ai déjà vu aux entraînements, nous pouvons bien nous compléter, il garde bien le ballon et je peux en profiter pour combiner ou prendre les espaces. Cela se travaille, comme tout le reste. Nous pouvons toujours nous améliorer, que ce soit les appels, la technique, les prises de balle, etc. Je dois encore bosser pour marquer le plus possible et donner un maximum de passes décisives. Au fil des semaines, je suis persuadé que notre entente grandira. »
(La Meuse 23/8/2024)
Alexis Lefebvre, arrivé cette semaine à Rocourt, a déjà pris ses marques et se dit opérationnel d’entrée. Mais avant de défier Jong Genk, ce dimanche (19h15), à Geel, l’attaquant français se dévoile.
Ce sont des jours qui comptent dans une carrière et qui peuvent même, parfois, vous révéler : Alexis Lefebvre, vingt et un ans, a quitté Troyes (Ligue 2), son club formateur, pour rallier la Cité ardente et écrire un premier chapitre à l’étranger dans son livre personnel.
Et s’il est trop tôt pour mesurer l’impact que cette expatriation aura sur ses performances, le jeune homme semble avancer sereinement sur le chemin de l’intégration, au sein d’un club liégeois porté par des valeurs familiales et un public bouillant.
« Honnêtement, je n’avais pas beaucoup entendu parler du RFC Liège », glisse-t-il. « Quand mes agents ont évoqué un intérêt de la part des Sang et Marine, je me suis renseigné et j’ai rapidement compris qu’il s’agissait d’un club historique. Le projet m’a séduit et j’ai envie d’apporter mes qualités à l’équipe. »
À commencer par une sacrée vitesse, comme en témoigne le sobriquet de « p’tit vélo » que nos confrères de l’Est Républicain lui ont attribué lors de son double passage en prêt à Nancy.
« C’est vrai que c’est un de mes grands atouts, je vais très vite, avec ma taille, mes petits appuis, et cela peut être impressionnant… J’avais ce surnom en France, j’espère en avoir un autre ici (sourire). »
Retrouver des bonnes sensations
Avec un contrat de trois ans en poche, l’avant-centre français, qui peut être aligné sur les côtés ou en pointe, a bien perçu la confiance que la direction principautaire a placée en lui et se dit prêt à participer au remaniement offensif espéré.
« Je suis opérationnel », assure-t-il. « Si on excepte une légère blessure au pied, j’ai effectué toute la préparation avec Troyes et je me sens bien physiquement. Après, je dois retrouver des bonnes sensations. Il y a longtemps que je n’avais pas évolué sur un terrain synthétique, par exemple. Pour le reste, mes partenaires m’ont bien accueilli. J’appréhendais un peu le fait de débarquer dans un environnement inconnu, mais les autres cherchent aussi à me découvrir. C’est cool. »
Alexis Lefebvre vient ainsi gonfler la petite colonie des Français au sein du vestiaire liégeois : « J’ai côtoyé Flavio (Da Silva) durant ma formation il y a quelques années. Et c’est bien en termes de communication de pouvoir compter sur mes compatriotes car il y a des mots de votre vocabulaire que je ne comprends pas (rires). Il faut me laisser le temps de les mémoriser. »
Il y avait une belle ferveur dans le stade de Nancy, avec près de dix mille supporters, et je sais qu’il existe également un très bel engouement populaire ici, j’ai eu de bons échos à ce sujet
Alexis Lefebvre
On l’a compris, on le sent, Alexis Lefebvre a fait le pari de l’optimisme, alors qu’il aurait très bien pu tomber dans une zone de fatalisme suite à son départ de l’ESTAC.
« Des regrets ? Oui, un peu, car j’aurais pu apporter une touche en plus au club… Le foot est cependant une question de choix et il faut les accepter. J’ai déjà tiré un trait sur ça, même si je continuerai à être supporter de Troyes et à suivre ses résultats. Là, je suis focus sur le RFCL et impatient de m’y investir. »
Et s’il ne sait pas encore dans quel rôle Gaëtan Englebert compte l’utiliser, le Tricolore entend « donner tout ce que j’ai » pour réussir et permettre aux supporters du matricule 4 de faire le plein d’émotions : « Il y avait une belle ferveur dans le stade de Nancy, avec près de dix mille supporters, et je sais qu’il existe également un très bel engouement populaire ici, j’ai eu de bons échos à ce sujet. Tant mieux, il y a de la pression et c’est ce que j’aime. C’est de la pression positive ! »
Les vertus du travail
Le RFC Liège, qui se déplace ce dimanche soir (19h15) à Geel, afin d’en découdre avec Jong Genk, victorieux du RFC Seraing lors de la journée inaugurale de Challenger Pro League, est face à un nouveau sommet à gravir et son nouveau « p’tit vélo » en a sous la pédale.
« Quand je suis en confiance, je suis assez habile devant le but », assure encore Alexis Lefebvre qui évoque une possible association avec Zakaria Atteri. « De ce que j’ai déjà vu aux entraînements, nous pouvons bien nous compléter, il garde bien le ballon et je peux en profiter pour combiner ou prendre les espaces. Cela se travaille, comme tout le reste. Nous pouvons toujours nous améliorer, que ce soit les appels, la technique, les prises de balle, etc. Je dois encore bosser pour marquer le plus possible et donner un maximum de passes décisives. Au fil des semaines, je suis persuadé que notre entente grandira. »
(La Meuse 23/8/2024)
Modifié en dernier par JoeDalton le 24 août 2024, 14:37, modifié 1 fois.
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JoeDalton
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Re: Mercato 2024-2025
D'habitude je ne recopie pas des articles en intégralité, cependant ces 2 interviews me semblent quand même fort intéressantes
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Adrien
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Re: Mercato 2024-2025
Après la "Mobylette" de Danny Boffin, le "P'tit Vélo" d'Alexis Lefebvre !
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guym
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Re: Mercato 2024-2025
Un Nouveau surnom ? Vu sa taille et sa vitesse ?
« Pocket Bike »
Ou bien « 103 »
jfstassen a écrit :N'oublions jamais le précepte Raphaello-Quarantien : "J'ai gagné, j'm'en fous !"
« United we stand, Divided we fall »
Roger Waters - The Wall 1979
« Oh, and twisted thoughts that spin
Round my head, I'm spinning, Oh, I'm spinning
How quick the sun can, drop away »
Pearl Jam - Black 1992
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PGO
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Re: Mercato 2024-2025
Merci, Joe !
Alexis semble avoir la tête sur les épaules. C'est bien qu'il avoue regretter son départ de Troyes et qu'il soit déjà focalisé sur le RFCL ...
Quand on lui aura expliqué ce qu'est une trémie et un lacquement, il sera un vrai Sang et Marine
Espérons une confirmation rapide sur le terrain !
Éric Vandebon a écrit :C'est surtout palpable quand on attaque dans le sens de la nouvelle tribune debout, on ressent une attraction. Cela fait plaisir et les supporters en redemandent.
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PGO
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Re: Mercato 2024-2025
Le vélo est plus écologique que la mobylette.... ils sont bien tous les deux dans l'air du temps
Edit : non en fait, Alexis aurait été mieux au stade Vélodrome
Éric Vandebon a écrit :C'est surtout palpable quand on attaque dans le sens de la nouvelle tribune debout, on ressent une attraction. Cela fait plaisir et les supporters en redemandent.
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jimbojones
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Air Jipé
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Re: Mercato 2024-2025
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Re: Mercato 2024-2025
Alexis la Foudre
"Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue."
Albert Einstein
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Air Jipé
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Re: Mercato 2024-2025
"Speedy" de Speedy Gonzalez, la souris la plus rapide du Mexique.
Dans un tout autre style, il y eut aussi "Grand Galop", de Grangallo du dessin animé, pour le grand Émile Lejeune.
P'tit Vélo a Troyes, Bip-Bip à Rocourt, ça me va aussi..
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