Un club de belote et un club de lecture.
Topic unique et général sur le Standard
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Re: Topic unique et général sur le Standard
Une déchèterie !
jfstassen a écrit :N'oublions jamais le précepte Raphaello-Quarantien : "J'ai gagné, j'm'en fous !"
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Re: Topic unique et général sur le Standard
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Re: Topic unique et général sur le Standard
6 janvier
Le Standard a besoin de renforts.
Leko.
Faut dire qu'il est observateur.
Leko qui s'est fait virer de Hadjuk Split pour débarquer à Banana Split, république bananière s'il en est.
Le Standard a besoin de renforts.
Leko.

Faut dire qu'il est observateur.

Leko qui s'est fait virer de Hadjuk Split pour débarquer à Banana Split, république bananière s'il en est.
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Re: Topic unique et général sur le Standard
Je viens de parcourir son interview, on peut changer le nom 26 fois depuis 20 ans (?) c'est toujours le même discours dans ce club, pas à sa place, grand club, tout donner en équipe, jouer offensivement, bla bla bla...

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Re: Topic unique et général sur le Standard
Ce qui me fait rire à ce stade de la compétion, ce sont les équipes qui declarent qu'elles ne sont pas à leurs places....
Désolé mais après un demi championnat tu es à la place que tu mérites (Standard, Charleroi, Seraing, RFB pour ne citer que les wallons).
Désolé mais après un demi championnat tu es à la place que tu mérites (Standard, Charleroi, Seraing, RFB pour ne citer que les wallons).
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Re: Topic unique et général sur le Standard
Pour le standard et Charleroi ,c'est même au 2/3 du championnat, reste 10 matches en phase classique.Roger CHARLES a écrit : ↑06 janv. 2024, 13:58Ce qui me fait rire à ce stade de la compétion, ce sont les équipes qui declarent qu'elles ne sont pas à leurs places....
Désolé mais après un demi championnat tu es à la place que tu mérites (Standard, Charleroi, Seraing, RFB pour ne citer que les wallons).
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Re: Topic unique et général sur le Standard
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Re: Topic unique et général sur le Standard
7 janvier
DAns le journal 7Dimanche, on donne la parole aux reux concernant Leko.
Un d'entre (r)eux dit que son caractère correspond à ce qu'on aime au Standard, càd qu'il n'a pas peur de gueuler sur l'arbitre. SIC
Si ce n'est que ça, ma belle soeur aurait très bien pu faire l'affaire.
D'autant plus qu'elle use de qualificatifs variés et très poétiques.
25.000 personnes qui scandent son nom dans le stade de Sclessin, le rêve de toute une vie.
DAns le journal 7Dimanche, on donne la parole aux reux concernant Leko.
Un d'entre (r)eux dit que son caractère correspond à ce qu'on aime au Standard, càd qu'il n'a pas peur de gueuler sur l'arbitre. SIC

Si ce n'est que ça, ma belle soeur aurait très bien pu faire l'affaire.


25.000 personnes qui scandent son nom dans le stade de Sclessin, le rêve de toute une vie.

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Re: Topic unique et général sur le Standard
Le Standard de Liège affiche bilan financier sur bilan financier catastrophique. Cette saison, et pour la 3e année consécutive, le club liégeois enregistre une perte de 20 millions d’euros. Doit-on craindre pour la viabilité du club ? Trois experts répondent à nos questions.
Changement de coach, fond de jeu compliqué et neuvième place au classement général. La fin d’année 2023 pour le Standard n’a pas été un long fleuve tranquille. Et que dire du bilan financier du club.
"Je suis inquiet pour le Standard", nous explique Jean-Michel Dewaele, sociologue du sport à l’Université Libre de Bruxelles. "Parce qu’être en perte et autant dans le rouge sans progrès après avoir été repris, c’est dangereux pour le club et son avenir sportif."
Pour Jos Verschueren, économiste du Sport pour la VUB, le ton est le même : "Cela fait partie de l’histoire du foot, l’une des seules industries où l’on a des chiffres dans le rouge comme ça et où on peut continuer d’exister. Il n’y a pas de faillite, car il y a des mécènes derrière, des entreprises qui investissent. Mais c’est un modèle qui n’est pas du tout stable et qui est fragile. Si on dit depuis toujours aux armes à Liège, il faudrait dire aux armes financières si on ne change rien."
Parce que depuis quelques saisons, rien ne change à Sclessin. Et c’est bien là le souci, comme l’ajoute Thomas Peeters, économiste à l’Université de Rotterdam : "C’est normal pour les clubs belges d’avoir des bonnes et des mauvaises années. Genk par exemple a connu quelques années moins bonnes, mais avec les transferts et les Coupes d’Europe, ils ont réussi à renverser la tendance. Mais pour le Standard, ce n’est pas le cas. C’est inquiétant, car ça dure depuis plusieurs années. Et cela devient de plus en plus dur de récupérer les pertes."
Y a-t-il un pompier pour stopper l’incendie ?
On le sait, le foot belge est particulier. Pour s’en sortir, les clubs doivent compter sur la manne financière des droits télé, mais surtout sur deux autres variables qui dépendent de pas mal de choses, dont les résultats en championnat. La première concerne les Coupes d’Europe. Les clubs belges y font de plus en plus de bons résultats et les millions pleuvent. Mais pas pour tous et notamment pour le Standard. La seconde variable qui manque aussi ces derniers temps chez les Rouches et celle des transferts sortants. Si le Standard vend, il vend peu et surtout à des chiffres bien différents des rivaux que sont Anderlecht, Bruges, Genk, Gand, l’Antwerp et l’Union Saint-Gilloise par exemple.
"Il y a toujours cette façon de prévoir des rentrées, mais elles n’arrivent pas pour le Standard. Pas de PO1, pas de Coupe d’Europe. On espère aussi vendre des joueurs plus cher. L’économie des clubs belges pour la plupart, c’est former et vendre ou acheter des jeunes joueurs et les revendre plus cher en post-formation. Si le Standard n’est pas capable de revendre des joueurs, c’est problématique pour le club", explique Jean-Michel De Waele, qui ajoute : "Mais pour sauver le début de saison compliqué, le Standard a dû prendre des joueurs payés très cher au niveau du salaire. C’est un cercle vicieux et c’est ce qui arrive souvent quand on est propriétaire d’un groupe comme 777 dont le Standard n’est pas le club principal. Il faudrait voir évidemment ce que le propriétaire est prêt à faire et les réelles intentions. Après, ils ont déjà investi pas mal d’argent, mais sans grand résultat."
Car le souci est bien là, on ne sait pas trop où va 777 Partners. "Ils sont propriétaires de différents clubs en Europe, mais est-ce qu’il y a un budget derrière ? J’espère que ce n’est pas une bulle financière. Touchons du bois qu’un jour, on trouve un partenaire fiable qui permette de faire exister le Standard dans le futur", ajoute Jos Verschueren.
On doit être inquiet chaque jour de l’état de tous les clubs de foot en Belgique et pas seulement du Standard.
Quelles sont les solutions ? Injecter du capital ? Avoir un chien de garde financier ?
Il n’y a pas que le Standard qui a des soucis financiers. Et les solutions ne sont pas légion. On pourrait continuer à injecter du capital dans le club, mais ce n’est pas une solution idéale, explique Thomas Peeters : "Ça peut arriver d’injecter du capital. Par exemple à Anderlecht, on a utilisé une part des capitaux pour financer les transferts. Mais à ce moment-ci, pour le Standard, on peut se demander si c’est aussi la chose la plus urgente à faire. Il faudrait surtout améliorer sa position financière. Car dans le bilan du Standard, on peut voir pas mal d’argents qui doit servir pour les dettes, celles à long terme, mais surtout à court terme. Ce sont des mauvais signaux."
L’autre solution, "ce serait d’aller encore plus loin au niveau de la Pro League et d’avoir une institution qui surveille comme un chien de garde qui pourrait faire partie de la Pro League. Une sorte de banque nationale footballistique qui aide et qui veille sur l’état financier des clubs. Car, on doit être inquiet chaque jour de l’état de tous les clubs de foot en Belgique et pas seulement du Standard", rajoute Jos Verschueren.
Le Standard a besoin du football belge et le football belge a besoin du Standard.
Le Standard peut-il vraiment faire faillite ?
"C’est utopique de le penser, sauf jusqu’au jour où cela arrive", commence par nous expliquer Jos Verschueren. Si cette situation ne devrait probablement pas arriver à un club comme le Standard, il faut quand même faire attention.
Jean-Michel De Waele, n'"espère ne jamais arriver à cette situation-là. Après, il y a des exemples de club qui sont descendus et remontés, comme les Glasgow Rangers. Mais le Standard a besoin du football belge et le football belge a besoin du Standard. Quand on voit l’audimat et les articles de presse sur le club. Et puis, c’est un club qui, pour la région liégeoise, est fondamental. On a l'impression que le club s'enfonce toujours un peu plus, malgré les changements de présidence. Et les supporters méritent autre chose, car ils sont toujours là et soutiennent leur équipe. Le souci finalement, c’est que le propriétaire n’est plus local. Et en Belgique, il faut avoir une proximité locale, c’est important. On le voit à Bruges et Anderlecht. Au Standard, on a l’impression qu’on ne connaît pas bien le football belge. Après, il ne suffit pas d’avoir quelqu’un de proche pour que tout aille bien. Mais l’inverse donne rarement des bons résultats, sauf pour le PSG et Manchester City."
Pour Thomas Peeters, la situation est plus nuancée : "Oui, c’est possible de faire faillite, mais je ne le pense pas pour le Standard. Après, on l’a déjà vu avec le Beerschot, le Lierse et Lokeren. Ce qui est typique pour les clubs de foot, c’est que la faillite ne dure pas, car il y a des gens qui sont intéressés de racheter un club, même si la situation est compliquée. Il y aura toujours une personne pour investir dans le Standard. Et puis, pour avoir faillite, il faut que les propriétaires le veuillent. Je ne pense donc pas que le Standard va disparaître. Il est possible que la structure en place ne survive pas, mais de là à parler de faillite, je ne pense pas."
Il faudra cependant changer la donne. Car la Pro League l'a annoncé, tous les clubs devront avoir d'ici à 2028 des capitaux propres positifs, moyennant une amélioration de 20% chaque année. À l’issue de l’exercice écoulé, ceux du Standard étaient négatifs à hauteur de 24,3 millions.
Source RTBF
Changement de coach, fond de jeu compliqué et neuvième place au classement général. La fin d’année 2023 pour le Standard n’a pas été un long fleuve tranquille. Et que dire du bilan financier du club.
"Je suis inquiet pour le Standard", nous explique Jean-Michel Dewaele, sociologue du sport à l’Université Libre de Bruxelles. "Parce qu’être en perte et autant dans le rouge sans progrès après avoir été repris, c’est dangereux pour le club et son avenir sportif."
Pour Jos Verschueren, économiste du Sport pour la VUB, le ton est le même : "Cela fait partie de l’histoire du foot, l’une des seules industries où l’on a des chiffres dans le rouge comme ça et où on peut continuer d’exister. Il n’y a pas de faillite, car il y a des mécènes derrière, des entreprises qui investissent. Mais c’est un modèle qui n’est pas du tout stable et qui est fragile. Si on dit depuis toujours aux armes à Liège, il faudrait dire aux armes financières si on ne change rien."
Parce que depuis quelques saisons, rien ne change à Sclessin. Et c’est bien là le souci, comme l’ajoute Thomas Peeters, économiste à l’Université de Rotterdam : "C’est normal pour les clubs belges d’avoir des bonnes et des mauvaises années. Genk par exemple a connu quelques années moins bonnes, mais avec les transferts et les Coupes d’Europe, ils ont réussi à renverser la tendance. Mais pour le Standard, ce n’est pas le cas. C’est inquiétant, car ça dure depuis plusieurs années. Et cela devient de plus en plus dur de récupérer les pertes."
Y a-t-il un pompier pour stopper l’incendie ?
On le sait, le foot belge est particulier. Pour s’en sortir, les clubs doivent compter sur la manne financière des droits télé, mais surtout sur deux autres variables qui dépendent de pas mal de choses, dont les résultats en championnat. La première concerne les Coupes d’Europe. Les clubs belges y font de plus en plus de bons résultats et les millions pleuvent. Mais pas pour tous et notamment pour le Standard. La seconde variable qui manque aussi ces derniers temps chez les Rouches et celle des transferts sortants. Si le Standard vend, il vend peu et surtout à des chiffres bien différents des rivaux que sont Anderlecht, Bruges, Genk, Gand, l’Antwerp et l’Union Saint-Gilloise par exemple.
"Il y a toujours cette façon de prévoir des rentrées, mais elles n’arrivent pas pour le Standard. Pas de PO1, pas de Coupe d’Europe. On espère aussi vendre des joueurs plus cher. L’économie des clubs belges pour la plupart, c’est former et vendre ou acheter des jeunes joueurs et les revendre plus cher en post-formation. Si le Standard n’est pas capable de revendre des joueurs, c’est problématique pour le club", explique Jean-Michel De Waele, qui ajoute : "Mais pour sauver le début de saison compliqué, le Standard a dû prendre des joueurs payés très cher au niveau du salaire. C’est un cercle vicieux et c’est ce qui arrive souvent quand on est propriétaire d’un groupe comme 777 dont le Standard n’est pas le club principal. Il faudrait voir évidemment ce que le propriétaire est prêt à faire et les réelles intentions. Après, ils ont déjà investi pas mal d’argent, mais sans grand résultat."
Car le souci est bien là, on ne sait pas trop où va 777 Partners. "Ils sont propriétaires de différents clubs en Europe, mais est-ce qu’il y a un budget derrière ? J’espère que ce n’est pas une bulle financière. Touchons du bois qu’un jour, on trouve un partenaire fiable qui permette de faire exister le Standard dans le futur", ajoute Jos Verschueren.
On doit être inquiet chaque jour de l’état de tous les clubs de foot en Belgique et pas seulement du Standard.
Quelles sont les solutions ? Injecter du capital ? Avoir un chien de garde financier ?
Il n’y a pas que le Standard qui a des soucis financiers. Et les solutions ne sont pas légion. On pourrait continuer à injecter du capital dans le club, mais ce n’est pas une solution idéale, explique Thomas Peeters : "Ça peut arriver d’injecter du capital. Par exemple à Anderlecht, on a utilisé une part des capitaux pour financer les transferts. Mais à ce moment-ci, pour le Standard, on peut se demander si c’est aussi la chose la plus urgente à faire. Il faudrait surtout améliorer sa position financière. Car dans le bilan du Standard, on peut voir pas mal d’argents qui doit servir pour les dettes, celles à long terme, mais surtout à court terme. Ce sont des mauvais signaux."
L’autre solution, "ce serait d’aller encore plus loin au niveau de la Pro League et d’avoir une institution qui surveille comme un chien de garde qui pourrait faire partie de la Pro League. Une sorte de banque nationale footballistique qui aide et qui veille sur l’état financier des clubs. Car, on doit être inquiet chaque jour de l’état de tous les clubs de foot en Belgique et pas seulement du Standard", rajoute Jos Verschueren.
Le Standard a besoin du football belge et le football belge a besoin du Standard.

Le Standard peut-il vraiment faire faillite ?
"C’est utopique de le penser, sauf jusqu’au jour où cela arrive", commence par nous expliquer Jos Verschueren. Si cette situation ne devrait probablement pas arriver à un club comme le Standard, il faut quand même faire attention.
Jean-Michel De Waele, n'"espère ne jamais arriver à cette situation-là. Après, il y a des exemples de club qui sont descendus et remontés, comme les Glasgow Rangers. Mais le Standard a besoin du football belge et le football belge a besoin du Standard. Quand on voit l’audimat et les articles de presse sur le club. Et puis, c’est un club qui, pour la région liégeoise, est fondamental. On a l'impression que le club s'enfonce toujours un peu plus, malgré les changements de présidence. Et les supporters méritent autre chose, car ils sont toujours là et soutiennent leur équipe. Le souci finalement, c’est que le propriétaire n’est plus local. Et en Belgique, il faut avoir une proximité locale, c’est important. On le voit à Bruges et Anderlecht. Au Standard, on a l’impression qu’on ne connaît pas bien le football belge. Après, il ne suffit pas d’avoir quelqu’un de proche pour que tout aille bien. Mais l’inverse donne rarement des bons résultats, sauf pour le PSG et Manchester City."
Pour Thomas Peeters, la situation est plus nuancée : "Oui, c’est possible de faire faillite, mais je ne le pense pas pour le Standard. Après, on l’a déjà vu avec le Beerschot, le Lierse et Lokeren. Ce qui est typique pour les clubs de foot, c’est que la faillite ne dure pas, car il y a des gens qui sont intéressés de racheter un club, même si la situation est compliquée. Il y aura toujours une personne pour investir dans le Standard. Et puis, pour avoir faillite, il faut que les propriétaires le veuillent. Je ne pense donc pas que le Standard va disparaître. Il est possible que la structure en place ne survive pas, mais de là à parler de faillite, je ne pense pas."
Il faudra cependant changer la donne. Car la Pro League l'a annoncé, tous les clubs devront avoir d'ici à 2028 des capitaux propres positifs, moyennant une amélioration de 20% chaque année. À l’issue de l’exercice écoulé, ceux du Standard étaient négatifs à hauteur de 24,3 millions.
Source RTBF
jfstassen a écrit :N'oublions jamais le précepte Raphaello-Quarantien : "J'ai gagné, j'm'en fous !"
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Re: Topic unique et général sur le Standard
Fellaini a assisté au match amical du standard en stage.
Le journaliste signale qu'il n'y a aucune negociation pour un retour sportif.
Par contre, on apprend que le standard lui doit encore 3 millions après la mascarade du stade...
Le journaliste signale qu'il n'y a aucune negociation pour un retour sportif.
Par contre, on apprend que le standard lui doit encore 3 millions après la mascarade du stade...
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Re: Topic unique et général sur le Standard
Roger CHARLES a écrit : ↑10 janv. 2024, 07:45
Par contre, on apprend que le standard lui doit encore 3 millions après la mascarade du stade...

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Re: Topic unique et général sur le Standard
« Les Liégeois ont été plus que tous les ans domptés, néanmoins, ils ont toujours relevé leurs crestes »
Michel de l’Hospital, 1558.
Michel de l’Hospital, 1558.
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Re: Topic unique et général sur le Standard
Selon Josimar, au moins un autre consortium d'investisseurs américains est en train de préparer une offre, dans l'éventualité où 777 ne parviendrait pas à mener à bien sa reprise.thema a écrit : ↑10 janv. 2024, 11:10https://www.rtbf.be/article/standard-ev ... RV4AD2fBVo
Encore un peu ...
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Re: Topic unique et général sur le Standard
Si je lis bien, on parle d'Everton.Air Jipé a écrit : ↑10 janv. 2024, 12:01Selon Josimar, au moins un autre consortium d'investisseurs américains est en train de préparer une offre, dans l'éventualité où 777 ne parviendrait pas à mener à bien sa reprise.thema a écrit : ↑10 janv. 2024, 11:10https://www.rtbf.be/article/standard-ev ... RV4AD2fBVo
Encore un peu ...
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Re: Topic unique et général sur le Standard
C'est bien çà, mais çà montre qu'ils lâchent l'affaire facilement, et qu'ils refilent la socquette à qui la veut, sans que personne ne puisse réagir.Bonsink a écrit : ↑10 janv. 2024, 19:55Si je lis bien, on parle d'Everton.Air Jipé a écrit : ↑10 janv. 2024, 12:01Selon Josimar, au moins un autre consortium d'investisseurs américains est en train de préparer une offre, dans l'éventualité où 777 ne parviendrait pas à mener à bien sa reprise.thema a écrit : ↑10 janv. 2024, 11:10https://www.rtbf.be/article/standard-ev ... RV4AD2fBVo
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Re: Topic unique et général sur le Standard
Je pense qu'en pratique, c'est surtout l'organisme de contrôle anglais qui ne valide pas cette reprise par 777, car il juge les comptes de ce machin bcp trop opaques et la provenance des fonds douteuse (sans blague

On est donc toujours dans une situation intermédiaire depuis plusieurs mois, où les propriétaires actuels d'Everton ont bien donné leur accord à 777, où 777 a apparemment déjà injecté un peu d'argent à Everton mais où ils ne sont toujours pas autorisés à reprendre officiellement le club.
Et du coup, d'autres vautours recommencent à tourner aussi autour du club...
Modifié en dernier par BloodAddict le 11 janv. 2024, 09:31, modifié 1 fois.
"Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue."
Albert Einstein
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Re: Topic unique et général sur le Standard
Je reste quand même perplexe de voir qu'une structure qui pue à ce point l'arnaque puisse aussi facilement obtenir du crédit aux yeux des fédérations et des dirigeants de plusieurs clubs dans plusieurs pays...
Que des clubs dans le rouge écarlate, que des dirigeants au passé trouble, que des casseroles au cul, que des promesses et du vent... mais ça continue de prendre de l'ampleur tranquilou-bilou depuis des années sans que ça ne dérange personne dans le monde du football
Que des clubs dans le rouge écarlate, que des dirigeants au passé trouble, que des casseroles au cul, que des promesses et du vent... mais ça continue de prendre de l'ampleur tranquilou-bilou depuis des années sans que ça ne dérange personne dans le monde du football

"Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue."
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Re: Topic unique et général sur le Standard
On a tjrs évoqué une bulle financière associée au milieu du foot qui finirait par exploser…
jfstassen a écrit :N'oublions jamais le précepte Raphaello-Quarantien : "J'ai gagné, j'm'en fous !"
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Re: Topic unique et général sur le Standard
777 partners, attiré par les 60 millions du transfert possible d'Onana ?
Plus les droits télé, ils auraient de quoi boucher les trous dans leurs autres clubs...
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