Stade de Rocourt

[devil04]

Diekirch

Oui,juste,bref,on a pas tellement évolués a ce sujet...

[Air Jipé]

Diekirch

Avant c'était de la primus "Chevalier marin"

A la bouteille. On les décapsulait nous même, le tenancier n'allait pas vite assez pour nous servir

[marc barça]

Diekirch

Avant c'était de la primus "Chevalier marin"

A la bouteille. On les décapsulait nous même, le tenancier n'allait pas vite assez pour nous servir

[ERIC 55]

Ah ben ça alors, c'est fou.
Je vois tout le stade, et je focalise sur un petit truc: les barrières au premier plan, ça m'a immédiatement renvoyé le souvenir de cette entrée là, qui donnait sur un parking et un terrain d'entrainement.

... et qui permettait de sortir de l'enceinte du stade en passant par la petite route pentue derrière le "chalet". Foutue nostalgie

Et le petit bois derrière la debout qui permettait d'entrer gratos (1975),...

[Mortimer]

Si, si sous les gradins de la tribune debout

On parle évidemment de buvette officielle, et pas du rendez-vous clandestin de Marc Barça, lorsqu'il attendait sous l'escalier du bloc D4 avec sa bassine remplie de sangria

Puis il passait dans les tribunes avec son frigobox en frigolite en tablier blanc pour vendre ses chocos glaçés!

Les marchands de chocos glacés se tenaient sur la piste, on leur lançait les piéces et ils envoyaient le choc dans la tribune...

[ERIC 55]

On parle évidemment de buvette officielle, et pas du rendez-vous clandestin de Marc Barça, lorsqu'il attendait sous l'escalier du bloc D4 avec sa bassine remplie de sangria

Puis il passait dans les tribunes avec son frigobox en frigolite en tablier blanc pour vendre ses chocos glaçés!

Les marchands de chocos glacés se tenaient sur la piste, on leur lançait les piéces et ils envoyaient le choc dans la tribune...

Ildoit bien Exister des photos de cette ambiance en tribune!

[bridgfast1892]

On parle évidemment de buvette officielle, et pas du rendez-vous clandestin de Marc Barça, lorsqu'il attendait sous l'escalier du bloc D4 avec sa bassine remplie de sangria

Puis il passait dans les tribunes avec son frigobox en frigolite en tablier blanc pour vendre ses chocos glaçés!

Les marchands de chocos glacés se tenaient sur la piste, on leur lançait les piéces et ils envoyaient le choc dans la tribune...

Déjà des tumeurs à l époque

[chimay1892]

Diekirch

Avant c'était de la primus "Chevalier marin"

Juste! Ai des factures de cette époque ...trouvées dans les décombres du stade...

[ERIC 55]

Diekirch

Avant c'était de la primus "Chevalier marin"

Juste! Ai des factures de cette époque ...trouvées dans les décombres du stade...

Desz factures de managers? Y a pas les bulletins de paie des joueurs?

[chimay1892]

Avant c'était de la primus "Chevalier marin"

Juste! Ai des factures de cette époque ...trouvées dans les décombres du stade...

Desz factures de managers? Y a pas les bulletins de paie des joueurs?

Des relevés de compte,les recettes de certaines saisons,et plein d'autres documents en parfait état.

[vins1892]

Les 1ers matchs auxquels j'ai assistés à Rocourt (époque : je prenais une chaise de la buvette sous la tribune et me plaçait dans la travée entre tribune haute et basse: vue imprenable sur le terrain.
Quand je pense aux mesures de sécurité de maintenant ...

[Air Jipé]

Je ne sais pas si elle a déjà été postée quelque part :

[PGO]

Je ne sais pas si elle a déjà été postée quelque part :

Pour pouvoir le dire, il faudrait voir le verso et regarder s'il y a une adresse et un timbre

Sérieusement, photo superbe; prise d'un angle où l'on peut supposer que l'enceinte est fermée

[Air Jipé]

Pour pouvoir le dire, il faudrait voir le verso et regarder s'il y a une adresse et un timbre

[JoeDalton]

Superbe
43 €

[ERIC 55]

Je ne sais pas si elle a déjà été postée quelque part :

Absolument grandiose

[Davor M.]

Classe les business seats à l'époque.

[Charles Rasir]

J'en profite pour demander aux "anciens" ce qui a provoqué cette baisse absolument incroyable de l'assistance dans les années 70-80-90 à Rocourt.

C'est quand même assez incroyable de passe d'un stade archi combles comme ça dans les années 50-60 à un petit 10/12 milles de moyenne par la suite...

Je me suis toujours posé cette question d'ailleurs...pourquoi le $tandard a-t-il toujours eu un potentiel public plus important que Liège ? Il a pourtant été créé après le rfcl...

Entre 1958 et 1975, le Standard a remporté six titres et deux coupes... A cette époque, Roger Petit était secrétaire général. Il a compris qu'un club de football devenait une "entreprise". Il a aussi mis les "moyens" pour rendre son club populaire... Il a compris qu'il avait besoin du support de la presse et de la RTB, dont Luc Varenne... Des enveloppes ont largement été distribuées mensuellement à quelques journalistes clés. En sorte que la radio, Luc Varenne en tête, n'avait qu'un club à la bouche... Varenne n'en n'était pas avare. Chaque match du Standard retransmis, la deuxième mi-temps en direct à la radio, était l'occasion d'ébahissement systématique, avec un seul club sur le terrain. Le reportage était axé exclusivement avec le point de vue du supporter rouche. L'autre équipe n'existait pas... D'où, certains ennuis avec notamment Anderlecht et Liège. Mais Varenne n'en avait cure... Lui et La Meuse, et en tête Raymond Arets, ont progressivement construit la popularité du Standard dans la Cité Ardente et ce aux dépens de Liège. Pendant ce temps, Liège flirtait avec les premières places sans être en mesure d'emporter la palme. Varenne, Arets et compagnie poursuivait inlassablement leur campagne de "propagande" soutenue, bien sûr, et "alimentée" par Roger Petit. L'impact de Varenne, sa popularité et ses talents de reporter pénétrait dans les chaumières du fin fond du Luxembourg, dans des zones éloignées de Liège, où la parole de Varenne et la prose d'Arets étaient prises pour argent comptant... surtout par le public jeune de l'époque, crédule et donc progressivement "converti".
Il s'en suivit un glissement du public de Rocourt vers Sclessin. La zone géographique qui a le mieux résisté à cette campagne de persuasion a sans doute été la terre de Hesbaye dont étaient originaires quelques joueurs ainsi que certains quartiers du Vieux-Liège traditionnel et leurs commerçants.
Voilà mon explication. Elle est partielle et lacunaire. Mais, de toute évidence, l'orchestration de Roger Petit et de ses musiciens journalistes "dévoués et "intéressés" a joué un rôle non négligeable jusqu'à l'affaire Waterchei.

[marc barça]

J'en profite pour demander aux "anciens" ce qui a provoqué cette baisse absolument incroyable de l'assistance dans les années 70-80-90 à Rocourt.

C'est quand même assez incroyable de passe d'un stade archi combles comme ça dans les années 50-60 à un petit 10/12 milles de moyenne par la suite...

Je me suis toujours posé cette question d'ailleurs...pourquoi le $tandard a-t-il toujours eu un potentiel public plus important que Liège ? Il a pourtant été créé après le rfcl...

Entre 1958 et 1975, le $tandard a remporté six titres et deux coupes... A cette époque, Roger Petit était secrétaire général. Il a compris qu'un club de football devenait une "entreprise". Il a aussi mis les "moyens" pour rendre son club populaire... Il a compris qu'il avait besoin du support de la presse et de la RTB, dont Luc Varenne... Des enveloppes ont largement été distribuées mensuellement à quelques journalistes clés. En sorte que la radio, Luc Varenne en tête, n'avait qu'un club à la bouche... Varenne n'en n'était pas avare. Chaque match du $tandard retransmis, la deuxième mi-temps en direct à la radio, était l'occasion d'ébahissement systématique, avec un seul club sur le terrain. Le reportage était axé exclusivement avec le point de vue du supporter rouche. L'autre équipe n'existait pas... D'où, certains ennuis avec notamment Anderlecht et Liège. Mais Varenne n'en avait cure... Lui et La Meuse, et en tête Raymond Arets, ont progressivement construit la popularité du $tandard dans la Cité Ardente et ce aux dépens de Liège. Pendant ce temps, Liège flirtait avec les premières places sans être en mesure d'emporter la palme. Varenne, Arets et compagnie poursuivait inlassablement leur campagne de "propagande" soutenue, bien sûr, et "alimentée" par Roger Petit. L'impact de Varenne, sa popularité et ses talents de reporter pénétrait dans les chaumières du fin fond du Luxembourg, dans des zones éloignées de Liège, où la parole de Varenne et la prose d'Arets étaient prises pour argent comptant... surtout par le public jeune de l'époque, crédule et donc progressivement "converti".
Il s'en suivit un glissement du public de Rocourt vers Sclessin. La zone géographique qui a le mieux résisté à cette campagne de persuasion a sans doute été la terre de Hesbaye dont étaient originaires quelques joueurs ainsi que certains quartiers du Vieux-Liège traditionnel et leurs commerçants.
Voilà mon explication. Elle est partielle et lacunaire. Mais, de toute évidence, l'orchestration de Roger Petit et de ses musiciens journalistes "dévoués et "intéressés" a joué un rôle non négligeable jusqu'à l'affaire Waterchei.

[guym]

J'en profite pour demander aux "anciens" ce qui a provoqué cette baisse absolument incroyable de l'assistance dans les années 70-80-90 à Rocourt.

C'est quand même assez incroyable de passe d'un stade archi combles comme ça dans les années 50-60 à un petit 10/12 milles de moyenne par la suite ...

Je me suis toujours posé cette question d'ailleurs...pourquoi le $tandard a-t-il toujours eu un potentiel public plus important que Liège ? Il a pourtant été créé après le rfcl ...

Entre 1958 et 1975, le $tandard a remporté six titres et deux coupes ... A cette époque, Roger Petit était secrétaire général. Il a compris qu'un club de football devenait une "entreprise". Il a aussi mis les "moyens" pour rendre son club populaire ... Il a compris qu'il avait besoin du support de la presse et de la RTB, dont Luc Varenne ... Des enveloppes ont largement été distribuées mensuellement à quelques journalistes clés. En sorte que la radio, Luc Varenne en tête, n'avait qu'un club à la bouche ... Varenne n'en n'était pas avare. Chaque match du $tandard retransmis, la deuxième mi-temps en direct à la radio, était l'occasion d'ébahissement systématique, avec un seul club sur le terrain. Le reportage était axé exclusivement avec le point de vue du supporter rouche. L'autre équipe n'existait pas ... D'où, certains ennuis avec notamment Anderlecht et Liège. Mais Varenne n'en avait cure ... Lui et La Meuse, et en tête Raymond Arets, ont progressivement construit la popularité du $tandard dans la Cité Ardente et ce aux dépens de Liège. Pendant ce temps, Liège flirtait avec les premières places sans être en mesure d'emporter la palme. Varenne, Arets et compagnie poursuivaient inlassablement leur campagne de "propagande" soutenue, bien sûr, et "alimentée" par Roger Petit. L'impact de Varenne, sa popularité et ses talents de reporter pénétrait dans les chaumières du fin fond du Luxembourg, dans des zones éloignées de Liège, où la parole de Varenne et la prose d'Arets étaient prises pour argent comptant ... surtout par le public jeune de l'époque, crédule et donc progressivement "converti".
Il s'en suivit un glissement du public de Rocourt vers Sclessin. La zone géographique qui a le mieux résisté à cette campagne de persuasion a sans doute été la terre de Hesbaye dont étaient originaires quelques joueurs ainsi que certains quartiers du Vieux-Liège traditionnel et leurs commerçants.
Voilà mon explication. Elle est partielle et lacunaire. Mais, de toute évidence, l'orchestration de Roger Petit et de ses musiciens journalistes "dévoués et "intéressés" a joué un rôle non négligeable jusqu'à l'affaire Waterschei.

Très juste ; Arets et sa forte moustache, ce n'était pas que la presse écrite, mais également la télé (Lundi Sports etc. ... du temps où la grande majorité des gens se répartissaient entre la RTB, surtout pour les sports, et RTL)), puis la chronique hebdomadaire - tribune des "Rouches" - dans Spectacles entre autres ...
J'ajoute que les campagnes européennes - télévisées - du Standard de la fin des années '60 au début des années '80 ont joué un rôle de catalyseur ; enfin, la proximité géographique entre le stade de Sclessin et le fleuron sidérurgique (Cockerill) a donné l'impression - à mes yeux pour partie fallacieuse - que le Standard incarnait l'âme de l'ouvrier liégeois, dur au labeur, la main sur le coeur, généreux et tenace ...

Je ne suis pas encore "un ancien" (pour l'anecdote, j'ai "la petite cinquantaine") mais tel a "toujours" été mon ressenti ...