La DH du 18/2/2016

[thema]

Une page entière dans la DH ...

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[PGO]

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La tête au haute, certes, mais avec les trois points

[Air Jipé]

Une page entière dans la DH ...

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François est connu de tous depuis toujours.
Il entretenait déjà les vareuses des joueurs quand Luis Carré jouait encore en minimes, il graissait la chaîne de vélo de Robert Protin, il avait les clés du vélodrome de la Boverie, c'est même lui qui, en 1891, a testé le parcours de LIège Bastogne et retour, sur une draisiène de 1820.

[marc barça]

François,on t' de notre faute

[Jeanmi]

Voici le texte de l'article:

Le nouveau coach des Sang et Marine relève un nouveau défi, motivé comme jamais !
La séance d’entraînement n’est programmée qu’à 19h30 ce mardi à Rocourt, mais Czernia est sur place depuis 16h30. Au menu : analyse vidéo du prochain adversaire du matricule 4, notamment. On l’avait quitté déçu par son limogeage sérésien et on le retrouve tout à fait prêt à s’impliquer à fond dans son nouvel objectif : amener Liège au tour final. Et plus, si affinités…

"Tout a été très vite quand le club m’a appelé. J’ai pris quelques renseignements et tous les échos étaient positifs sur la direction en place. Le jour et la nuit avec ce que j’ai connu au RTFCL en 1999…" lance-t-il d’emblée. "Il y a des ambitions ici, de belles infrastructures, un engouement populaire qui ne s’est jamais démenti et… un potentiel sportif intéressant."

En quelques jours , le bel Alex a déjà pu se forger une idée des forces en présence. "Et franchement, je suis positivement étonné par le niveau technique du noyau. Cela se passe très bien depuis mon entrée en fonction, mais je ne suis pas dupe : je sais qu’au départ, tout le monde aime le nouvel entraîneur. C’est un peu comme au début d’une année scolaire…" (rires)

À 55 ans, Czernia en a vu d’autres et il sait que seule la réalité du terrain sera prise en considération. "On n’a pas le choix : il faut des résultats, et tout de suite. Je ne vais pas avoir le temps de tout chambouler. Ce qui est certain, c’est qu’il va falloir repenser l’organisation défensive générale, car l’équipe encaisse trop de buts."

Il se concentre sur les trois prochains mois. "Si nous atteignons le Top 6 ou mieux encore, tout le monde sera content et on pourra se remettre à table. Ce que j’exige, c’est que chacun mouille son maillot. Que les joueurs respectent le public et puissent sortir du terrain la tête haute. Mon père a été mineur et il m’a appris à respecter tout le monde."

C’est sans doute l’une des raisons pour lesquelles Czernia est unanimement apprécié aux quatre coins du pays. "Durant ma carrière, j’ai fait de superbes fêtes, mais j’étais le premier sur le terrain le lendemain matin. Il y a un temps pour tout dans la vie. Je veux que mes joueurs comprennent bien ce message."


"J’ai joué mon dernier match avec le RTFCL"

Alors âgé de 38 ans, l’ancien Diable Rouge rejoint Buraufosse pour constituer le duo des Alex. "Je devais en quelque sorte faire l’écolage du jeune Alex Di Gregorio", se souvient-il. "Je garde de bons souvenirs de cette époque, malgré les énormes problèmes financiers qui minaient le club. J’étais le plus expérimenté et j’ai fait ce que je pouvais pour maintenir la motivation du groupe, car nous n’étions plus payés."

C’est aussi sous les couleurs du RTFCL qu’il a marqué son dernier but. "Je n’avais prévenu personne quand j’ai disputé mon dernier match en tant que joueur. C’était à Dender et j’avais inscrit le 0-1. Je ne voulais rien faire comme tout le monde à l’époque..." (rires)

Il a retrouvé avec plaisir à Rocourt le magasinier François Simons, l’inamovible délégué Willy Robin mais aussi Bernard Wegria. "Il était dans le staff sportif à Buraufosse, avec mon ami Raphaël Quaranta. Avec Bernard, nous étions de farouches opposants sur les terrains, avant de nous lier d’amitié lors de notre période commune à Ekeren."

Si le RTFCL a notamment éliminé le grand FC Bruges de la Coupe de Belgique avec Czernia, l’ancien buteur se rappelle d’une anecdote particulière. "Nous étions allés jouer un match en Italie et j’ai loupé l’avion du retour avec Fabio Crucil. Je me suis retrouvé sans mes bagages, à devoir revenir en Belgique en train après une escale à Paris. Je ne comprends toujours pas comment le délégué n’a pas vu qu’il manquait des joueurs dans l’avion. Maintenant, j’en rigole, évidemment…"

Daniel Renard était le manager du club et n’a pas oublié Alex. "Plusieurs souvenirs me reviennent à l’esprit. Comme lors d’un stage à la Côte, où il avait fait la fête très tard avant d’emmener les troupes dans les dunes lors du cross matinal. Ou quand il prônait le calme et le respect du public alors qu’il n’était plus payé et qu’il devait se farcir la route depuis son domicile anversois. C’est un gentleman, profondément simple et gentil."

[CEW 66]

J'avait acheté le journal hier mais je l'ai biessement oublié chez le dentiste.
N'y avait-il pas encore un encart supplémentaire (en bas à droite) concernant notre club en plus des deux que tu as retranscris ?

[Jeanmi]

J'avait acheté le journal hier mais je l'ai biessement oublié chez le dentiste.
N'y avait-il pas encore un encart supplémentaire (en bas à droite) concernant notre club en plus des deux que tu as retranscris ?

Sais pas, j'ai juste accès a la version .net qui ne donne pas tous les articles.

[CEW 66]

Ok merci.

[PGO]

J'avait acheté le journal hier mais je l'ai biessement oublié chez le dentiste.
N'y avait-il pas encore un encart supplémentaire (en bas à droite) concernant notre club en plus des deux que tu as retranscris ?

Tu caries, là, non ?


PGO a des problèmes de H

[JoeDalton]

il manquait une petite partie je crois:

Il ne sera finalement resté que trois mois sur la touche depuis son éviction à Seraing. “Je devenais fou à la maison ! Ma femme est autant ravie que moi de ma signature à Liège. Et puis, en hiver, je ne peux même pas couper les arbres de mon jardin pour m’occuper…” Le voici donc de retour sur les routes, également. “J’ai déjà fait jusqu’à 100.000 kilomètres par an lors de ma carrière. Cela ne m’a jamais dérangé. De toute façon, je vis à Rumst et le club de mon village est en P4. Je suis donc bien obligé de voyager. (rires) À Seraing, je partais de chez moi vers 5 h du matin pour éviter les embouteillages sur le ring. C’est de l’histoire ancienne désormais, même si je souhaite aux Métallos d’accrocher ce fameux Top 8.”

S’il a été marqué par sa période malinoise, “un club qui a un peu la même histoire que Liège, avec des supporters qui sont restés fidèles malgré les problèmes”, il se souvient particulièrement d’un entraîneur à l’Antwerp. “J’essaie de m’inspirer de tous les coaches que j’ai connus, mais j’ai vraiment apprécié Walter Meeuws pour son rapport humain avec les joueurs. En 40 ans de présence dans le milieu du foot, j’ai appris à connaître les gens. On dit souvent de moi que je suis trop gentil, mais c’est quoi au fond, être gentil ? Je n’ai pas besoin de taper sur la table pour faire passer mon message.” Il va devoir forger des résultats dans un autre contexte désormais. “Dans mes précédents cercles, j’ai davantage lutté contre la descente et je suis arrivé à sauver plusieurs équipes. Je voulais un club avec de réelles ambitions et je sais ce que l’on attend de moi ici.”
Premier paragraphe de son nouveau chapitre en rouge et bleu : un déplacement à Diegem ce dimanche, où la victoire est indispensable pour les Sang et Marine.

[Air Jipé]

J'avait acheté le journal hier mais je l'ai biessement oublié chez le dentiste.
N'y avait-il pas encore un encart supplémentaire (en bas à droite) concernant notre club en plus des deux que tu as retranscris ?

Tu caries, là, non ?


PGO a des problèmes de H

C'est le même dentiste que Bebert, celui qui n'utilise que des fraises de Wépion?

[Air Jipé]

Ces articles sont très positifs. Je m'en réjoui.
Pourvu que les resultats soient à la hauteur de l'enthousiasme affichée par Czernia et ce serait parfait.