RUL-Boussu-Jupille-Bressoux-La Débrouille Utd (a.k.a « Seraing »)

[philbe]

«  à noter qu’il y a plus de supporters de l’Antwerp que de seraing dans le stade »….ha bon ?!

[DFR]

Jean-Sébastien Legros fait vraiment pitié, pauvre homme parachuté au milieu de ce no man's land...

Il doit quand même toucher un salaire plusieurs fois supérieur à ce qu’il a eu de mieux dans sa carrière de joueur…

[Roger CHARLES]

A Seraing un bon salaire ?

[Jeanmi]

Jean-Sébastien Legros fait vraiment pitié, pauvre homme parachuté au milieu de ce no man's land...

Il doit quand même toucher un salaire plusieurs fois supérieur à ce qu’il a eu de mieux dans sa carrière de joueur…

A voir, mais pas sûr que pour la suite de sa carrière cette expérience lui aura été bénéfique. Être associé à ce pseudo club qui est sans doute la pire imposture de la D1 depuis des lustres, il y a mieux comme carte de visite...

[onecupfivetitles]

Quel naufrage

[oscarflesch]

Quel naufrage

Et Lepoint avec un morceau de scotch blanc , dans le dos, pour que sa vareuse portant le numéro 28 devienne le chiffre 23

[jps]

ok mais dans l’histoire c’est l’Antwerp qui est fautive , l’équiper qui reçois joue avec son équipement de base , les autres ,les visiteurs doivent s’adapteés , surtout pour la retransmission de television

[the voice side]

Pourquoi c'est l'Antwerp le fautif ???

[JoeDalton]

Ils sont à domicile et ne disposent pas de jeux complets de vareuses?
Ils n'ont même pas des Willy, André, Janine qui leur sauvent la situation en 15 minutes?
On est en D1 quand même quoi...
Il n'y a pas de moyens, mais pas non plus de ressources humaines, ils ont juste flambé en montant quasi à chaque fois par chance et en bénéficiant d'un stade public, ils n'ont rien construit dans la durée, c'est vraiment pitoyable...

[Jeanmi]

Ils sont à domicile et ne disposent pas de jeux complets de vareuses?
Ils n'ont même pas des Willy, André, Janine qui leur sauvent la situation en 15 minutes?
On est en D1 quand même quoi...
Il n'y a pas de moyens, mais pas non plus de ressources humaines, ils ont juste flambé en montant quasi à chaque fois par chance et en bénéficiant d'un stade public, ils n'ont rien construit dans la durée, c'est vraiment pitoyable...

Les services publics en grève vendredi, ils ont été largement lésés.

[TOS]

ok mais dans l’histoire c’est l’Antwerp qui est fautive , l’équiper qui reçois joue avec son équipement de base , les autres ,les visiteurs doivent s’adapteés , surtout pour la retransmission de television

Je ne sais pas ce que prévoit le règlement de l'UB mais l'UEFA explique l'inverse de ce que tu dis: "Si l’arbitre décide sur place que les couleurs sélectionnées pour les deux équipes pourraient prêter à confusion, l’équipe recevante doit changer de tenue de jeu, pour des raisons pratiques."

Ces raisons pratiques étant le fait que l'équipe qui reçoit a accès à l'ensemble de son stock de maillots. C'est donc bien Seraing le fautif.

[Air Jipé]

La Metz est dite.

[philbe]

Je ne serai pas serein à leur place

[guym]

La Metz est dite.

[jps]

ok mais dans l’histoire c’est l’Antwerp qui est fautive , l’équiper qui reçois joue avec son équipement de base , les autres ,les visiteurs doivent s’adapteés , surtout pour la retransmission de television

Je ne sais pas ce que prévoit le règlement de l'UB mais l'UEFA explique l'inverse de ce que tu dis: "Si l’arbitre décide sur place que les couleurs sélectionnées pour les deux équipes pourraient prêter à confusion, l’équipe recevante doit changer de tenue de jeu, pour des raisons pratiques."

Ces raisons pratiques étant le fait que l'équipe qui reçoit a accès à l'ensemble de son stock de maillots. C'est donc bien Seraing le fautif.

le quatrième arbitre A.Boucaut , lui disait le contraire et ne voulait pas entamer la rencontre dixit Le responsable de la sécurité de Sraing

[the voice side]

ok mais dans l’histoire c’est l’Antwerp qui est fautive , l’équiper qui reçois joue avec son équipement de base , les autres ,les visiteurs doivent s’adapteés , surtout pour la retransmission de television

Je ne sais pas ce que prévoit le règlement de l'UB mais l'UEFA explique l'inverse de ce que tu dis: "Si l’arbitre décide sur place que les couleurs sélectionnées pour les deux équipes pourraient prêter à confusion, l’équipe recevante doit changer de tenue de jeu, pour des raisons pratiques."

Ces raisons pratiques étant le fait que l'équipe qui reçoit a accès à l'ensemble de son stock de maillots. C'est donc bien Seraing le fautif.

le quatrième arbitre A.Boucaut , lui disait le contraire et ne voulait pas entamer la rencontre dixit Le responsable de la sécurité de Sraing

Si Boucaut le dit et le responsable "Balaes?" Le dis aussi

[Don Camillo]

le quatrième arbitre A.Boucaut , lui disait le contraire et ne voulait pas entamer la rencontre dixit Le responsable de la sécurité de Sraing

Où Balaes passe, le football trépasse.

[CEW 66]

Balaes ton quoi !

[Jeanmi]

Frédéric Larsimont, Le Soir

« Seraing s’apprête à fermer la parenthèse désenchantée »

La relégation du FC Seraing n’est pas encore consommée sur le plan mathématique puisqu’à trois journées du terme de la phase classique, il reste encore un hypothétique cas de figure de voir les 8 points qui le séparent d’Eupen, être résorbés. Le maintien des pensionnaires du Pairay se jouant alors aux points plutôt que par le KO qui se dessine depuis de longues semaines déjà. Voilà pour le calcul de probabilités mais chaque supporter sérésien sait qu’il peut s’en faire une écharpe pour les longues soirées d’hiver, l’an prochain en Challenger Pro League. Il aura ainsi l’occasion de taper la causette, en toute intimité avec le voisin de siège, pour autant qu’il y en ait un puisque l’on sait que le stade de la rue de la Boverie n’est plus vraiment the place to be dans un football liégeois qui est loin de son lustre d’antan, lorsque le FC Liégeois et Seraing se permettaient de tutoyer le Standard au gré de derbys mettant littéralement la Cité ardente en état d’incandescence.

Ce vendredi soir à Bruges (avant un déplacement à l’Union et la visite de Westerlo, rien que ça !) mettra probablement un terme officiel à la parenthèse désenchantée de deux saisons pour un retour au sein de l’élite que l’on attendait plus festif, avouons-le. Monté en même temps que l’Union en juin 2021, Seraing s’est laissé voler la vedette à la hype de la RUSG, adossée, il est vrai, à Brighton, club de la middle class de Premier League. Là où le FC Metz, soutien financier et fournisseur officiel de Seraing, vit depuis le début du siècle dans l’ascenseur qui relie la Ligue 1 et 2 en appuyant frénétiquement sur tous les boutons pour espérer se stabiliser à l’étage le plus représentatif.

Ressuscité par le truchement d’un échange/rachat de matricules à en perdre son latin, le RFC Seraing a cru pouvoir vivre autant sur son statut de succursale messine en Belgique que sur un capital sympathie bien réel dans le grand public, né de la folle épopée des années 80-90 Une tranche de vie de siècle dernier, opulente et enivrante, où le Pairay dansait sur des airs de samba de la filière brésilienne des Edmilson, Wamberto, Edson et autre Isaïas.

Mais il était dit qu’en ces temps d’austérité post-covid, la greffe, sur un terreau pourtant fertile, ne prendrait pas. La vraie fausse arrivée aux affaires de Lucien D’Oniofrio (pourtant présent en loges à pratiquement tous les matchs), l’attribution de la direction sportive à Carlos Freitas, le lâcher prise progressif de Bernard Serin, l’abandon de la présidence de Mario Franchi au profit d’un Marc Sombreffe plus obscur encore que son prédécesseur, la valse des entraîneurs (Jordi Condom, Jean-Louis Garcia, Bernard Jeunechamps et Jean-Sébastien Legros, soit 4 en 21 mois) et un budget d’à peine 7 millions ne laissant place qu’aux fonds de tiroirs et l’improvisation, ont vite eu raison des rêves en rouge et noir.

Après les mises en liquidation successives de La Louvière, de Mons et de Mouscron ces quinze dernières années, le renouveau du football wallon pour emboîter le pas au Standard et à Charleroi ne passera donc pas par le Pairay. Pour avoir trop tiré sur la corde, Seraing s’apprête désormais à un retour à l’expéditeur d’autant plus douloureusement cacheté qu’il s’accompagne d’une solide dose d’incertitude. Un tiers de son noyau se retrouve en effet en fin de contrat (dont Bernier et Marius, les deux joueurs à valeur marchande de l’effectif), un autre tiers reste lié au club mais à des tarifs probablement insoutenables en D1B alors qu’un autre tiers des joueurs n’est en transit que sous la forme de prêt. Autant écrire que la direction sérésienne – ou ce qu’il en restera après la relégation qui s’annonce – a du mouron à se faire. A l’issue d’un naufrage non seulement sportif (le maintien de l’an dernier ne s’était arraché que lors d’un barrage face à un RWDM dont l’envie de monter était tout autre que cette saison) mais aussi populaire. A cet égard, les chiffres d’assistance parlent d’eux-mêmes : une moyenne de… 2.242 spectateurs à domicile, une barre des 3.000 tickets vendus franchie à trois reprises seulement contre le FC Bruges (3.040), Anderlecht (3.520) et évidemment le Standard (6.511). Le tout dans un stade communal d’un autre temps (8.207 places sont 5.000 assises) doté d’une surface de jeu pas très éloignée du label « terrain vague.

Dans quelques jours, au terme de sa 10e saison au plus haut niveau, Seraing s’apprête donc à redescendre en empruntant l’escalier de service. Au vu du vent de fraîcheur qu’il avait représenté lors de la première montée en D1 en 1981 et surtout lors de son retour sous l’ère de Gérald Blaton en 1993, on évitera de qualifier cette relégation qui s’annonce de mise en bière dans l’indifférence générale. Mais en regardant la réalité en face, on peut conclure, à la lecture de la ligne bilantaire, que le court retour aux affaires de Seraing fut aussi furtif que discret. Au revoir, chers amis métallos, et peut-être à une prochaine fois. Sous de meilleurs auspices.

[jps]

il y va gaiement le Laresimont