Et puis vaccine est une chose mais la personne hospitalisée a eu quoi comme vaccin? Sachant que pour certains le vaccin protège les gens pendant seulement 4vpetits mois....shadocksss a écrit : ↑11 déc. 2021, 23:05Désoler de continuer à m'informer sur le club en suivant le forum chaque semaine... Et tout aussi désolé de ne pas avoir compris que les chiffres de sciensano étaient de l'intox![]()
Covid.
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Re: Covid.
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Re: Covid.
Jusqu'il y a peu c'était bien le cas, une large majorité de non-vaccinés en USI (cf les stats de Sciensano que tu fais bien de consulter pour l'informer, mais l'analyse de tant de données n'est pas toujours si simple et il n'y a aucune honte à faire confiance à des journalistes qui font ça très bienshadocksss a écrit : ↑11 déc. 2021, 22:24J'ai bien dit qu'il valait mieux être vacciné pour avoir moins de (mal) chance d'être en USI, mais une majorité c'est et ça a toujours été 50 % plus 1 et rien d'autre... Tu peux calculer comme tu veux, 246 personnes ne seront jamais une majorité face à 441 personnes![]()

Mais comme l'explique Herbi cette tendance s'inverse, c'est mathématique avec 100% de vaccinés on aurait 100% d'hospitalisés vaccinés.
C'est assez amusant que cet argument anti-vaccin soit possible grâce à l'efficacité du vaccin.
Concrètement, 10x moins de chances de finir en USI et 10x plus de chances d'en sortir sans passer par le funerarium.
Les antivax font beaucoup de bruit, mais dans la réalité plus de 85% des adultes belges ont assumé leurs responsabilités sans se la ramener, merci à tous


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Re: Covid.
Attention aussi que certains reprennent sur les réseaux sociaux des extraits de rapports Sciensano en y changeant quelques chiffres....
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Re: Covid.
89% de la population de plus de 18 ans est vaccinée.
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Re: Covid.
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Re: Covid.
Je ne suis pas certain qu'ils soient incultes.Herbi a écrit : ↑13 déc. 2021, 16:52Ramassis d'incultes
https://www.lemonde.fr/societe/article/ ... _3224.html
À partir du moment où on réhabilite Pétain ou Mauras à longueur de discours, ça me paraît même être une suite "logique".
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Re: Covid.
Quelle honte de salir ainsi la mémoire des vrais combattantsHerbi a écrit : ↑13 déc. 2021, 16:52Ramassis d'incultes
https://www.lemonde.fr/societe/article/ ... _3224.html


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Re: Covid.
Nous accusons les différents gouvernements belges :
D'avoir réduit la santé, que l'OMS définit comme "un état complet de bien-être physique, mental et social", à l'absence d'une maladie, faisant par ailleurs fi de l'ensemble des conditions favorisant les formes sévères de cette maladie, à l'exception du virus SARS-CoV-2.
D'avoir omis de solliciter des experts capables d'analyser les systèmes complexes, mettant au-devant de la scène décisionnelle uniquement des experts aux compétences hyperspécialisées mais incapables d'adopter une vision globale visant à garantir l'intérêt général des populations. Ce faisant, d'avoir refusé le dialogue interdisciplinaire, voire diffamé les scientifiques et les médecins qui avaient un point de vue différent, alors qu'un tel dialogue permet de dépasser les limites épistémiques propres à chaque discipline.
De s'être focalisés sur l'élément du système complexe le plus difficilement vulnérable à l'intervention humaine, à savoir la circulation du virus, délaissant par là d'autres facteurs plus vulnérables : comorbidités, ciblage des mesures et optimisation de leurs effets globaux, renforcement de la prise en charge précoce permettant d'éviter une dégradation des patients, renforcement du système de santé.
D'avoir manqué de vision stratégique et d'avoir adopté une politique incrémentale sans arriver à revenir sur leurs erreurs. En particulier, d'avoir omis de tirer les leçons de la première vague en investissant massivement dans la pérennisation des pratiques de protection (ventilation des lieux publics confinés et particulièrement les écoles, soutien aux réseaux locaux de santé et particulièrement de santé mentale, campagnes de promotion de la santé, etc.). Par ailleurs, d'avoir éludé un besoin fondamental de la santé publique : soutenir de façon régulière, critique et participative la montée en capacité de tous les citoyens et des services de santé locaux. S'il était nécessaire de préserver le système de soins de santé au début de la crise, la politique menée était insuffisante pour affronter la dynamique interne de la pandémie lors des saisons suivantes.
D'avoir adopté une gestion par indicateurs, sans toutefois comprendre les limites de ces indicateurs et de leurs instruments de mesure. En particulier, d'avoir adopté une gestion par les seules moyennes et dès lors, d'avoir énoncé des mesures non différenciées, identiques pour tous, quel que soit le risque réel de contamination, délaissant les principes d'équité et d'efficience de la santé publique qui s'imposent face à un problème hétérogène.
De fonder désormais toute la stratégie de gestion de l'épidémie sur la réussite d'une vaccination de masse, sans prévoir la possibilité de l'échec et sans mettre en place l'indispensable système de pharmacovigilance actif pour identifier, encadrer, mitiger et compenser les effets secondaires des vaccins.
D'avoir sapé les bases de notre système de santé, en diminuant les capacités hospitalières sans pour autant renforcer la première ligne, la prévention et la promotion de la santé. En particulier, de maltraiter le personnel infirmier, en n'ayant pas soutenu cette profession à travers des mesures fortes et adaptées, y compris une revalorisation salariale, une augmentation des capacités et de la flexibilité des conditions de travail, et maintenant en les menaçant de sanctions s'ils refusent la vaccination.
D'avoir découragé les médecins de première ligne de se rendre au chevet de leurs patients atteints de Covid-19, causant directement des milliers de morts qui auraient pu être évitées à travers un traitement adapté selon les besoins de chaque patient (oxygénothérapie, corticothérapie orale antibiotiques en cas de surinfection bactérienne, anticoagulants, etc.), et contribuant à l'inefficience de la prise en charge et à la surcharge hospitalière lors des vagues successives de Covid-19.
D'avoir accru les inégalités dans notre pays, les mesures prises ayant pour la plupart des effets collatéraux disproportionnés dans les groupes plus pauvres et vulnérables. En particulier, d'avoir maltraité les personnes âgées au cours de la première vague de Covid-19, leur ayant refusé les soins et le soutien social nécessaire ; de maltraiter aujourd'hui les enfants et les jeunes, les privant d'éducation, de contacts sociaux et les incitant à subir une vaccination dont ils n'ont pas besoin pour leur propre santé, mais dont ils paient un prix fort au niveau des effets secondaires - ou, s'ils la refusent, au niveau de leur développement personnel, physique, relationnel et intellectuel.
D'avoir systématiquement méconnu les principes fondamentaux de l'État de droit démocratique au nom d'un objectif sanitaire défini de manière peu claire, changeante et sans délibération publique et transparente.
De refuser d'évaluer la mise en oeuvre de leurs mesures, comme la bonne gouvernance publique l'impose, y compris l'entièreté de leurs effets (directs et indirects, positifs et négatifs, attendus et inattendus), leurs coûts, leurs mécanismes causaux, en vue d'adapter la politique sur base des connaissances accumulées.
De dilapider les deniers publics au profit de quelques éléments du secteur privé : centaines de milliers d'euros gaspillés en tests PCR inutiles (chez des individus sans signe clinique et sans risque de Covid-19 sévère), millions d'euros déboursés pour une vaccination de masse, non ciblée et probablement récurrente.
En somme, d'être totalement dénués des capacités nécessaires pour gouverner : capacités d'anticiper, d'analyser une situation d'ensemble, de gérer les risques, d'effectuer une planification stratégique, d'organiser un dialogue politique permettant de prendre les décisions de façon informée et inclusive, de communiquer sur les critères de décisions.
Nous accusons une majorité de parlementaires belges :
De s'être totalement effacés devant le pouvoir exécutif, que ce soit avant ou après l'adoption de la Loi Pandémie.
De ne pas poser des questions critiques sur la politique de riposte au Covid-19 ni de s'informer mieux sur les bases probantes sur le virus, la maladie et les approches préventives et thérapeutiques.
D'avoir laissé se généraliser une intervention publique répressive plutôt que la mise en oeuvre de mesures proportionnées, efficaces, efficientes et équitables, en soutien à une montée en capacité des intervenants locaux et des citoyens eux-mêmes.
De n'avoir pas défendu les intérêts des populations qu'ils représentent, faisant fi des effets collatéraux des mesures et privilégiant la répression à l'accompagnement des populations à risque.
D'avoir abandonné l'espace public aux médias et aux réseaux sociaux. Ce faisant, d'avoir contribué à l'entretien d'un climat d'angoisse dans la population et d'avoir détruit la cohésion sociale de notre pays en encourageant la culpabilisation et la stigmatisation de certains pans de la société (les jeunes qui ne respecteraient pas les mesures, les enfants qui seraient des bombes à virus, les non-vaccinés qui seraient les responsables de la quatrième vague), tout cela alors que les connaissances scientifiques réfutent ces affirmations.
D'avoir laissé se déployer une gestion publique chaotique, toujours dans l'urgence, à coup de décisions ponctuelles, sans prendre en compte l'entièreté des effets des mesures à moyen terme.
Mesdames et Messieurs, ne vous rendez plus complices d'une gestion de crise qui n'a plus rien à voir ni avec la médecine, ni avec la santé publique. Réagissez dès maintenant : la crise n'est pas finie et ses conséquences nous poursuivront encore après 2024.
Catherine Fallon, évaluation des politiques publiques, ULiège
Elisabeth Paul, politiques et systèmes de santé, ULB
Nicolas Thirion, droit, ULiège
(J'accuse)
1er décembre 2021
D'avoir réduit la santé, que l'OMS définit comme "un état complet de bien-être physique, mental et social", à l'absence d'une maladie, faisant par ailleurs fi de l'ensemble des conditions favorisant les formes sévères de cette maladie, à l'exception du virus SARS-CoV-2.
D'avoir omis de solliciter des experts capables d'analyser les systèmes complexes, mettant au-devant de la scène décisionnelle uniquement des experts aux compétences hyperspécialisées mais incapables d'adopter une vision globale visant à garantir l'intérêt général des populations. Ce faisant, d'avoir refusé le dialogue interdisciplinaire, voire diffamé les scientifiques et les médecins qui avaient un point de vue différent, alors qu'un tel dialogue permet de dépasser les limites épistémiques propres à chaque discipline.
De s'être focalisés sur l'élément du système complexe le plus difficilement vulnérable à l'intervention humaine, à savoir la circulation du virus, délaissant par là d'autres facteurs plus vulnérables : comorbidités, ciblage des mesures et optimisation de leurs effets globaux, renforcement de la prise en charge précoce permettant d'éviter une dégradation des patients, renforcement du système de santé.
D'avoir manqué de vision stratégique et d'avoir adopté une politique incrémentale sans arriver à revenir sur leurs erreurs. En particulier, d'avoir omis de tirer les leçons de la première vague en investissant massivement dans la pérennisation des pratiques de protection (ventilation des lieux publics confinés et particulièrement les écoles, soutien aux réseaux locaux de santé et particulièrement de santé mentale, campagnes de promotion de la santé, etc.). Par ailleurs, d'avoir éludé un besoin fondamental de la santé publique : soutenir de façon régulière, critique et participative la montée en capacité de tous les citoyens et des services de santé locaux. S'il était nécessaire de préserver le système de soins de santé au début de la crise, la politique menée était insuffisante pour affronter la dynamique interne de la pandémie lors des saisons suivantes.
D'avoir adopté une gestion par indicateurs, sans toutefois comprendre les limites de ces indicateurs et de leurs instruments de mesure. En particulier, d'avoir adopté une gestion par les seules moyennes et dès lors, d'avoir énoncé des mesures non différenciées, identiques pour tous, quel que soit le risque réel de contamination, délaissant les principes d'équité et d'efficience de la santé publique qui s'imposent face à un problème hétérogène.
De fonder désormais toute la stratégie de gestion de l'épidémie sur la réussite d'une vaccination de masse, sans prévoir la possibilité de l'échec et sans mettre en place l'indispensable système de pharmacovigilance actif pour identifier, encadrer, mitiger et compenser les effets secondaires des vaccins.
D'avoir sapé les bases de notre système de santé, en diminuant les capacités hospitalières sans pour autant renforcer la première ligne, la prévention et la promotion de la santé. En particulier, de maltraiter le personnel infirmier, en n'ayant pas soutenu cette profession à travers des mesures fortes et adaptées, y compris une revalorisation salariale, une augmentation des capacités et de la flexibilité des conditions de travail, et maintenant en les menaçant de sanctions s'ils refusent la vaccination.
D'avoir découragé les médecins de première ligne de se rendre au chevet de leurs patients atteints de Covid-19, causant directement des milliers de morts qui auraient pu être évitées à travers un traitement adapté selon les besoins de chaque patient (oxygénothérapie, corticothérapie orale antibiotiques en cas de surinfection bactérienne, anticoagulants, etc.), et contribuant à l'inefficience de la prise en charge et à la surcharge hospitalière lors des vagues successives de Covid-19.
D'avoir accru les inégalités dans notre pays, les mesures prises ayant pour la plupart des effets collatéraux disproportionnés dans les groupes plus pauvres et vulnérables. En particulier, d'avoir maltraité les personnes âgées au cours de la première vague de Covid-19, leur ayant refusé les soins et le soutien social nécessaire ; de maltraiter aujourd'hui les enfants et les jeunes, les privant d'éducation, de contacts sociaux et les incitant à subir une vaccination dont ils n'ont pas besoin pour leur propre santé, mais dont ils paient un prix fort au niveau des effets secondaires - ou, s'ils la refusent, au niveau de leur développement personnel, physique, relationnel et intellectuel.
D'avoir systématiquement méconnu les principes fondamentaux de l'État de droit démocratique au nom d'un objectif sanitaire défini de manière peu claire, changeante et sans délibération publique et transparente.
De refuser d'évaluer la mise en oeuvre de leurs mesures, comme la bonne gouvernance publique l'impose, y compris l'entièreté de leurs effets (directs et indirects, positifs et négatifs, attendus et inattendus), leurs coûts, leurs mécanismes causaux, en vue d'adapter la politique sur base des connaissances accumulées.
De dilapider les deniers publics au profit de quelques éléments du secteur privé : centaines de milliers d'euros gaspillés en tests PCR inutiles (chez des individus sans signe clinique et sans risque de Covid-19 sévère), millions d'euros déboursés pour une vaccination de masse, non ciblée et probablement récurrente.
En somme, d'être totalement dénués des capacités nécessaires pour gouverner : capacités d'anticiper, d'analyser une situation d'ensemble, de gérer les risques, d'effectuer une planification stratégique, d'organiser un dialogue politique permettant de prendre les décisions de façon informée et inclusive, de communiquer sur les critères de décisions.
Nous accusons une majorité de parlementaires belges :
De s'être totalement effacés devant le pouvoir exécutif, que ce soit avant ou après l'adoption de la Loi Pandémie.
De ne pas poser des questions critiques sur la politique de riposte au Covid-19 ni de s'informer mieux sur les bases probantes sur le virus, la maladie et les approches préventives et thérapeutiques.
D'avoir laissé se généraliser une intervention publique répressive plutôt que la mise en oeuvre de mesures proportionnées, efficaces, efficientes et équitables, en soutien à une montée en capacité des intervenants locaux et des citoyens eux-mêmes.
De n'avoir pas défendu les intérêts des populations qu'ils représentent, faisant fi des effets collatéraux des mesures et privilégiant la répression à l'accompagnement des populations à risque.
D'avoir abandonné l'espace public aux médias et aux réseaux sociaux. Ce faisant, d'avoir contribué à l'entretien d'un climat d'angoisse dans la population et d'avoir détruit la cohésion sociale de notre pays en encourageant la culpabilisation et la stigmatisation de certains pans de la société (les jeunes qui ne respecteraient pas les mesures, les enfants qui seraient des bombes à virus, les non-vaccinés qui seraient les responsables de la quatrième vague), tout cela alors que les connaissances scientifiques réfutent ces affirmations.
D'avoir laissé se déployer une gestion publique chaotique, toujours dans l'urgence, à coup de décisions ponctuelles, sans prendre en compte l'entièreté des effets des mesures à moyen terme.
Mesdames et Messieurs, ne vous rendez plus complices d'une gestion de crise qui n'a plus rien à voir ni avec la médecine, ni avec la santé publique. Réagissez dès maintenant : la crise n'est pas finie et ses conséquences nous poursuivront encore après 2024.
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Re: Covid.
Pour les personnes sans préjugés, désireuses de s'informer plus largement et encore capables de se remettre en question :
cela vaut la peine de tendre son oreille !
https://fb.watch/9U52A-1ZwT/
cela vaut la peine de tendre son oreille !
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Re: Covid.
STOP FAKE NEWS!ano11839 a écrit : ↑14 déc. 2021, 09:48D'avoir sapé les bases de notre système de santé, en diminuant les capacités hospitalières sans pour autant renforcer la première ligne, la prévention et la promotion de la santé. En particulier, de maltraiter le personnel infirmier, en n'ayant pas soutenu cette profession à travers des mesures fortes et adaptées, y compris une revalorisation salariale, une augmentation des capacités et de la flexibilité des conditions de travail, et maintenant en les menaçant de sanctions s'ils refusent la vaccination.
D'avoir laissé se généraliser une intervention publique répressive plutôt que la mise en oeuvre de mesures proportionnées, efficaces, efficientes et équitables, en soutien à une montée en capacité des intervenants locaux et des citoyens eux-mêmes.
De n'avoir pas défendu les intérêts des populations qu'ils représentent, faisant fi des effets collatéraux des mesures et privilégiant la répression à l'accompagnement des populations à risque.
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- la santé a été refinancée de 1 milliard, la norme de croissance a été revue à la hausse à 2,5%, le personnel soignant a reçu diverses primes exceptionnelles.
Ce n'est pas parce que le système s'effondre suite au désinvestissement qui a duré des années (sans parler des irresponsables non vaccinés qui donnent des leçons de santé publique) qu'il faut exploiter le malheur du personnel soignant et prétendre que "ça a toujours été comme ça".
Désolé pour les révolutionnaires de salon, mais un gouvernement qui réinvesti dans la santé c'est pas pareil qu'un gouvernement qui réduit toutes les dépenses, dommage de devoir le repréciser.
Va te faire vacciner, puis tu viendras nous parler de gestion de la santé publique

- une intervention répressive

La répression anti Covid en Belgique, mais mort de rire quoi, ya bien eu 3 PV en 2 ans...

- "j'accuse": mais qui sont donc ces pauvres gens qui se bardent de leurs titres universitaires pour s'engager dans de telles comparaisons minables?

- merci d'arrêter de brandir les classes populaires, assume au moins tes arguments trumpistes qui mettent précisément les plus faibles en danger;
- tu sembles bien maîtriser la fonction copier/coller, n'hésite pas à utiliser l'interrupteur qui allume le cerveau et à réfléchir par toi-même

- quelle honte absolue de diffuser les vidéos de Kairos (spécialiste en fake news, qui n'hésite pas à s'afficher en manif aux côtés des pires fachos) et les théories de cette médecin généraliste irresponsable qui déconseille le vaccin à ses patients; ses propos ont d'ailleurs été repris sans aucune critique dans plein de médias, mais là ça semble moins te déranger.
- toujours PAS UN MOT concernant la présence active de l'extrême droite dans la mobilisation dont tu te fais le porte-drapeau


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Re: Covid.
Essayez un peu de prendre la parole dans une manif au milieu des fachos, vous verrez combien de temps on vous laissera parler

Et pour sa défense, Monsieur attaque les antifascistes, par contre aucun problème de combattre avec l'extrême droite.
Cette banalisation devient une constante.
Merci Ano, les beaux discours moralisateurs c'est une chose mais concrètement


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Re: Covid.
ton post est une honteano11839 a écrit : ↑14 déc. 2021, 09:48Nous accusons les différents gouvernements belges :
D'avoir réduit la santé, que l'OMS définit comme "un état complet de bien-être physique, mental et social", à l'absence d'une maladie, faisant par ailleurs fi de l'ensemble des conditions favorisant les formes sévères de cette maladie, à l'exception du virus SARS-CoV-2.
D'avoir omis de solliciter des experts capables d'analyser les systèmes complexes, mettant au-devant de la scène décisionnelle uniquement des experts aux compétences hyperspécialisées mais incapables d'adopter une vision globale visant à garantir l'intérêt général des populations. Ce faisant, d'avoir refusé le dialogue interdisciplinaire, voire diffamé les scientifiques et les médecins qui avaient un point de vue différent, alors qu'un tel dialogue permet de dépasser les limites épistémiques propres à chaque discipline.
De s'être focalisés sur l'élément du système complexe le plus difficilement vulnérable à l'intervention humaine, à savoir la circulation du virus, délaissant par là d'autres facteurs plus vulnérables : comorbidités, ciblage des mesures et optimisation de leurs effets globaux, renforcement de la prise en charge précoce permettant d'éviter une dégradation des patients, renforcement du système de santé.
D'avoir manqué de vision stratégique et d'avoir adopté une politique incrémentale sans arriver à revenir sur leurs erreurs. En particulier, d'avoir omis de tirer les leçons de la première vague en investissant massivement dans la pérennisation des pratiques de protection (ventilation des lieux publics confinés et particulièrement les écoles, soutien aux réseaux locaux de santé et particulièrement de santé mentale, campagnes de promotion de la santé, etc.). Par ailleurs, d'avoir éludé un besoin fondamental de la santé publique : soutenir de façon régulière, critique et participative la montée en capacité de tous les citoyens et des services de santé locaux. S'il était nécessaire de préserver le système de soins de santé au début de la crise, la politique menée était insuffisante pour affronter la dynamique interne de la pandémie lors des saisons suivantes.
D'avoir adopté une gestion par indicateurs, sans toutefois comprendre les limites de ces indicateurs et de leurs instruments de mesure. En particulier, d'avoir adopté une gestion par les seules moyennes et dès lors, d'avoir énoncé des mesures non différenciées, identiques pour tous, quel que soit le risque réel de contamination, délaissant les principes d'équité et d'efficience de la santé publique qui s'imposent face à un problème hétérogène.
De fonder désormais toute la stratégie de gestion de l'épidémie sur la réussite d'une vaccination de masse, sans prévoir la possibilité de l'échec et sans mettre en place l'indispensable système de pharmacovigilance actif pour identifier, encadrer, mitiger et compenser les effets secondaires des vaccins.
D'avoir sapé les bases de notre système de santé, en diminuant les capacités hospitalières sans pour autant renforcer la première ligne, la prévention et la promotion de la santé. En particulier, de maltraiter le personnel infirmier, en n'ayant pas soutenu cette profession à travers des mesures fortes et adaptées, y compris une revalorisation salariale, une augmentation des capacités et de la flexibilité des conditions de travail, et maintenant en les menaçant de sanctions s'ils refusent la vaccination.
D'avoir découragé les médecins de première ligne de se rendre au chevet de leurs patients atteints de Covid-19, causant directement des milliers de morts qui auraient pu être évitées à travers un traitement adapté selon les besoins de chaque patient (oxygénothérapie, corticothérapie orale antibiotiques en cas de surinfection bactérienne, anticoagulants, etc.), et contribuant à l'inefficience de la prise en charge et à la surcharge hospitalière lors des vagues successives de Covid-19.
D'avoir accru les inégalités dans notre pays, les mesures prises ayant pour la plupart des effets collatéraux disproportionnés dans les groupes plus pauvres et vulnérables. En particulier, d'avoir maltraité les personnes âgées au cours de la première vague de Covid-19, leur ayant refusé les soins et le soutien social nécessaire ; de maltraiter aujourd'hui les enfants et les jeunes, les privant d'éducation, de contacts sociaux et les incitant à subir une vaccination dont ils n'ont pas besoin pour leur propre santé, mais dont ils paient un prix fort au niveau des effets secondaires - ou, s'ils la refusent, au niveau de leur développement personnel, physique, relationnel et intellectuel.
D'avoir systématiquement méconnu les principes fondamentaux de l'État de droit démocratique au nom d'un objectif sanitaire défini de manière peu claire, changeante et sans délibération publique et transparente.
De refuser d'évaluer la mise en oeuvre de leurs mesures, comme la bonne gouvernance publique l'impose, y compris l'entièreté de leurs effets (directs et indirects, positifs et négatifs, attendus et inattendus), leurs coûts, leurs mécanismes causaux, en vue d'adapter la politique sur base des connaissances accumulées.
De dilapider les deniers publics au profit de quelques éléments du secteur privé : centaines de milliers d'euros gaspillés en tests PCR inutiles (chez des individus sans signe clinique et sans risque de Covid-19 sévère), millions d'euros déboursés pour une vaccination de masse, non ciblée et probablement récurrente.
En somme, d'être totalement dénués des capacités nécessaires pour gouverner : capacités d'anticiper, d'analyser une situation d'ensemble, de gérer les risques, d'effectuer une planification stratégique, d'organiser un dialogue politique permettant de prendre les décisions de façon informée et inclusive, de communiquer sur les critères de décisions.
Nous accusons une majorité de parlementaires belges :
De s'être totalement effacés devant le pouvoir exécutif, que ce soit avant ou après l'adoption de la Loi Pandémie.
De ne pas poser des questions critiques sur la politique de riposte au Covid-19 ni de s'informer mieux sur les bases probantes sur le virus, la maladie et les approches préventives et thérapeutiques.
D'avoir laissé se généraliser une intervention publique répressive plutôt que la mise en oeuvre de mesures proportionnées, efficaces, efficientes et équitables, en soutien à une montée en capacité des intervenants locaux et des citoyens eux-mêmes.
De n'avoir pas défendu les intérêts des populations qu'ils représentent, faisant fi des effets collatéraux des mesures et privilégiant la répression à l'accompagnement des populations à risque.
D'avoir abandonné l'espace public aux médias et aux réseaux sociaux. Ce faisant, d'avoir contribué à l'entretien d'un climat d'angoisse dans la population et d'avoir détruit la cohésion sociale de notre pays en encourageant la culpabilisation et la stigmatisation de certains pans de la société (les jeunes qui ne respecteraient pas les mesures, les enfants qui seraient des bombes à virus, les non-vaccinés qui seraient les responsables de la quatrième vague), tout cela alors que les connaissances scientifiques réfutent ces affirmations.
D'avoir laissé se déployer une gestion publique chaotique, toujours dans l'urgence, à coup de décisions ponctuelles, sans prendre en compte l'entièreté des effets des mesures à moyen terme.
Mesdames et Messieurs, ne vous rendez plus complices d'une gestion de crise qui n'a plus rien à voir ni avec la médecine, ni avec la santé publique. Réagissez dès maintenant : la crise n'est pas finie et ses conséquences nous poursuivront encore après 2024.
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Re: Covid.
Mais quel lourd 

Tu es clairement en manque de foot.
Va te faire vacciner.
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Re: Covid.
Juste à
Qi zéro ce petit mec !!!

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Re: Covid.
Kairos, Bam, Vécu...tous ces pseudos grands reporters qui sont nés avec la covid, ces soi-disant médias alternatifs qui n'ont qu'un seul sujet traité depuis 18 mois et qui mendient pour pouvoir s'acheter un nouveau gsmJoeDalton a écrit : ↑14 déc. 2021, 10:34264465230_4670184329707584_4495579499386883057_n.png
Voici donc Monsieur Kairos, source d'info d'Ano, qui prend le micro aux côtés des pires fachos de Civitas (extrême droite catholique intégriste anti IVG etc);
Essayez un peu de prendre la parole dans une manif au milieu des fachos, vous verrez combien de temps on vous laissera parler
Et pour sa défense, Monsieur attaque les antifascistes, par contre aucun problème de combattre avec l'extrême droite.
Cette banalisation devient une constante.
Merci Ano, les beaux discours moralisateurs c'est une chose mais concrètement![]()
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Re: Covid.
Chiffres français, qui relativisent éventuellement certaines stats:
"Selon Carole Ichai, chef de la réanimation du CHU de Nice, 30 % des patients en soins critiques ont utilisé un passe sanitaire de complaisance" (un faux CST quoi)
"Selon Carole Ichai, chef de la réanimation du CHU de Nice, 30 % des patients en soins critiques ont utilisé un passe sanitaire de complaisance" (un faux CST quoi)

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Re: Covid.
C'est qui ? Alexandre Penasse ?JoeDalton a écrit : ↑14 déc. 2021, 10:34264465230_4670184329707584_4495579499386883057_n.png
Voici donc Monsieur Kairos, source d'info d'Ano, qui prend le micro aux côtés des pires fachos de Civitas (extrême droite catholique intégriste anti IVG etc);
Essayez un peu de prendre la parole dans une manif au milieu des fachos, vous verrez combien de temps on vous laissera parler
Et pour sa défense, Monsieur attaque les antifascistes, par contre aucun problème de combattre avec l'extrême droite.
Cette banalisation devient une constante.
Merci Ano, les beaux discours moralisateurs c'est une chose mais concrètement![]()
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Re: Covid.
Oui, le gugusse de Kairos à la dernière manif "pour les libertés" à laquelle participait absolument toute l'extrême droite la plus radicale.
Quand on se retrouve en manif avec l'extrême droite, on se tape sur la gueule avec eux PUIS quand on les a éjectés on prend la parole (fut-ce pour raconter des conneries).
Pas besoin de leçons politiques sur la dictature et la démocratie de la part d'un tel bouffon.
Quand on se retrouve en manif avec l'extrême droite, on se tape sur la gueule avec eux PUIS quand on les a éjectés on prend la parole (fut-ce pour raconter des conneries).
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Re: Covid.
Tu as été plus vite que moi....
Le kickboxeur Frédéric Sinistra est décédé - https://www.dhnet.be/sports/sport-regio ... 39dc3338d9
Hospitalisé pour covid au chu... il a signé une décharge pour en sortir ; sportif de 41 ans.
jfstassen a écrit :N'oublions jamais le précepte Raphaello-Quarantien : "J'ai gagné, j'm'en fous !"
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