Et chantait toujours au pied de la tribune : Liège, c'est nous
Que deviennent nos anciens ?
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PGO
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Re: Que deviennent nos anciens ?
On (lui) chantait souvent : Nous on a un gardien !
Et chantait toujours au pied de la tribune : Liège, c'est nous
Et chantait toujours au pied de la tribune : Liège, c'est nous
Éric Vandebon a écrit :C'est surtout palpable quand on attaque dans le sens de la nouvelle tribune debout, on ressent une attraction. Cela fait plaisir et les supporters en redemandent.
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CEW 66
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Re: Que deviennent nos anciens ?
Il m’a définitivement conquis le jour où il a déclaré qu’il n’aimait pas le foot en dehors de ses matchs et entraînements.
jfstassen a écrit :N'oublions jamais le précepte Raphaello-Quarantien : "J'ai gagné, j'm'en fous !"
« Ear the news ? The dogs are dead »
Roger Waters - Sheep (Animals 1977)
« Oui mais René Collard il chausse mieux ! »
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philbe
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Re: Que deviennent nos anciens ?
"...un derby, ça ne se joue pas, ça se gagne !" 
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Re: Que deviennent nos anciens ?
Combien de buts cette saison ?
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philbe
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Re: Que deviennent nos anciens ?
"...un derby, ça ne se joue pas, ça se gagne !"
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Re: Que deviennent nos anciens ?
Bertaccini entré au jeu à la 75e à Anderlecht, à 4-1...
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the voice side
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Re: Que deviennent nos anciens ?
Et il râle déjà
Fou des raysss, fou des raysss, fou des raysss v'là le tram 
. Thevoicesix
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philbe
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Re: Que deviennent nos anciens ?
et à part ça
il a eu des opportunités?"...un derby, ça ne se joue pas, ça se gagne !"
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Jeanmi
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Re: Que deviennent nos anciens ?
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Guy Delhasse a 91 ans!
UN ANNIVERSAIRE PAS COMME LES AUTRES…
Guy DELHASSE : 19 Février 1933 – 19 Février 2024 (91 ans)
Lorsque Berthe Sylva sort en 1934 ce tube qui fera le tour du monde « On n'a pas tous les jours vingt (90 aussi) ans, Ça nous arrive un' fois seul'ment, Ce jour-là pass', hélas, trop vite ! C'est pourquoi faut qu'on en profit… », le petit Guy vient tout juste de fêter son premier anniversaire. Vingt ans plus tard (1953), la chanson sera vraiment d’actualité d’autant que quelques semaines plus tard, il sera sacré ‘’Champions de Belgique’’ avec le RFC Liégeois.
D’ailleurs, aujourd’hui, Guy est le dernier survivant de cette magnifique équipe…
DE BONNES NOUVELLES SONT ENFIN ARRIVÉES DE L’HÔPITAL…
Il y a quelques jours, lorsque je vous ai donné des nouvelles de nos anciens, Patrick, son fils, n’était pas trop optimiste quant à l’avenir immédiat : « Papa a commencé une bronchite, il s’est retrouvé fort affaibli. J’allais régulièrement le trouver pendant la journée, si bien qu’un jour je fus contraint et forcé d’appeler l’ambulance. Papa est soigné à Notre-Dame des Bruyères à Chênée, il a une broncho-pneumonie. On vient de trouver l’antibiotique adéquat, il commence un traitement aujourd’hui, ça va encore un peu durer mais ce sera long car, fort affaibli, après il lui faudra de la physio pour remuscler ses jambes… ».
Mais ce soir, tandis que j’étais en train de souper, mon téléphone retentit avec au bout du fil, un Patrick requinqué à l’image de son papa : « Bonsoir Lucien, je t’avais promis hier de te donner des nouvelles de papa, et bien je t’annonce que ça va bien, même très bien. Les antibiotiques ont fait leurs effets, le virus a disparu ! Du coup il a retrouvé de l’appétit, il mange très bien, il reste très peu au lit durant la journée. Il va au fauteuil, il se promène et il récupère très bien. À son âge, c’est extraordinaire, mais il faut dire que c’est un roc, avec un caractère à l’image de cette pierre, rires… ».
ET TOUT ÇA GRÂCE AUX JOLIES FILLES DE TONGRES…
La chance dans la vie tient parfois à très peu de choses et très souvent quelques petits vous mettent la cerise sur le gâteau. Ou malheureusement, le gâteau va à la poubelle avant d’avoir eu le temps ne serait-ce que de l’avoir goûter…
Mais voyez-vous, à cette époque, le gâteau s’appelait ‘’Tongres – Tongeren’’ et les cerises sur le gâteau n’étaient autres que les jolies tongroises…
Ah ces jolies filles de Tongres (2 Mai 2017)
« Tu sais nous confie-t-il, j’ai eu une carrière magnifique qui a démarré par un pur hasard. Si je te disais comment, je parie que tu ne me croirais pas ? ».
Et pourquoi pas ?
« J’habitais à Sainte Walburge et avec mes copains, nous allions à vélo voir les filles à Tongres. Figure-toi que ce jour-là, mes copains s’entraînaient dans le ‘’ trou’’ à Rocourt. Me voilà parti les voir s’entraîner. Ils n’étaient que… 21 joueurs ! Du coup, l’entraîneur m’appelle et me demande de faire le 22ème. On m’apporte une tenue de gardien de but et me voilà entre les perches ! J’ai fini la saison en scolaires (on a été champions), puis en juniors (champions) et en équipe première, la saison 1952-1953, où nous avons été champions de Belgique devant 35.000 personnes à Rocourt ! Tu t’imagines si je ne m’arrête pas pour aller voir les copains et que je file seul à Tongres, hein ! », nous narre-t-il avec un large sourire.
QUAND ROGER AGNEESSENS S’EN VA JOUER DES POINGS DANS LA TRIBUNE EN PLEIN MATCH…
Décidément, après le coup des rendez-vous manqués à Tongres, et tandis qu’il piaffe d’impatience sur le banc dans la cuvette de Rocourt, un autre événement, aussi surprenant que le premier, va orienter la future carrière du jeune Guy Delhasse…
En arrivant dans le noyau de l’équipe première du RFC Liégeois (saison 1952-1953), et alors qu’il n’avait que 19 ans, Guy Delhasse n’était que la doublure d’un autre monument à Rocourt, Roger Agneessens. Et là aussi l’anecdote en vaut la peine avec bien entendu tout le respect que nous avons pour Roger.
« Pendant le match, les supporters s’en étaient pris à Roger, ils lui avaient crié dessus pour ne pas dire plus. Tu sais bien qu’à Liège on a parfois aussi le sang chaud ! Du coup, Roger n’a fait ni une ni deux, il a grimpé dans la tribune pour aller régler ses comptes… Il a pris 6 mois de suspension et… j’en ai profité. Oh tu sais, Roger et moi, nous étions de bons amis et il était de toute façon en fin de carrière… ».
PLACE À LA CONVALESCENCE À PRÉSENT… ET PLUS QUESTION DE SOULEVER LES BACS DE FLEURS !
Puisque les nouvelles en provenance de Notre-Dame des Bruyères à Chênée sont bonnes, il va falloir envisager sa post-hospitalisation. Et ça ne sera pas une mince affaire…
Néanmoins, un heureux évènement l’attend, puisqu’il va devenir arrière-grand-père ! L’occasion de se retrouver pour faire la fête en famille. Et puis, Patrick devra se charger de bien l’encadrer chez lui, notamment pour les tâches ménagères mais surtout pour son jardin. Il me racontait d’ailleurs qu’un jour, un jeune voisin était venu pour l’aider et qu’il n’arrivait pas à soulever les lourds bacs à fleurs en pierre… « Tandis que moi, je les soulevais et les déplaçais sans forcer… ».
Fêter son anniversaire à l'hôpital, ce n'est pas un anniversaire comme les autres, n'est-ce pas...
Bien cher Guy, nous te souhaitons un joyeux quatre-vingt-onzième anniversaire, un prompt rétablissement et longue vie encore auprès de toutes celles et ceux qui t’aiment et que tu aimes…
Avec toutes nos Amitiés Monsieur DELHASSE…
Guy Delhasse a 91 ans!
UN ANNIVERSAIRE PAS COMME LES AUTRES…
Guy DELHASSE : 19 Février 1933 – 19 Février 2024 (91 ans)
Lorsque Berthe Sylva sort en 1934 ce tube qui fera le tour du monde « On n'a pas tous les jours vingt (90 aussi) ans, Ça nous arrive un' fois seul'ment, Ce jour-là pass', hélas, trop vite ! C'est pourquoi faut qu'on en profit… », le petit Guy vient tout juste de fêter son premier anniversaire. Vingt ans plus tard (1953), la chanson sera vraiment d’actualité d’autant que quelques semaines plus tard, il sera sacré ‘’Champions de Belgique’’ avec le RFC Liégeois.
D’ailleurs, aujourd’hui, Guy est le dernier survivant de cette magnifique équipe…
DE BONNES NOUVELLES SONT ENFIN ARRIVÉES DE L’HÔPITAL…
Il y a quelques jours, lorsque je vous ai donné des nouvelles de nos anciens, Patrick, son fils, n’était pas trop optimiste quant à l’avenir immédiat : « Papa a commencé une bronchite, il s’est retrouvé fort affaibli. J’allais régulièrement le trouver pendant la journée, si bien qu’un jour je fus contraint et forcé d’appeler l’ambulance. Papa est soigné à Notre-Dame des Bruyères à Chênée, il a une broncho-pneumonie. On vient de trouver l’antibiotique adéquat, il commence un traitement aujourd’hui, ça va encore un peu durer mais ce sera long car, fort affaibli, après il lui faudra de la physio pour remuscler ses jambes… ».
Mais ce soir, tandis que j’étais en train de souper, mon téléphone retentit avec au bout du fil, un Patrick requinqué à l’image de son papa : « Bonsoir Lucien, je t’avais promis hier de te donner des nouvelles de papa, et bien je t’annonce que ça va bien, même très bien. Les antibiotiques ont fait leurs effets, le virus a disparu ! Du coup il a retrouvé de l’appétit, il mange très bien, il reste très peu au lit durant la journée. Il va au fauteuil, il se promène et il récupère très bien. À son âge, c’est extraordinaire, mais il faut dire que c’est un roc, avec un caractère à l’image de cette pierre, rires… ».
ET TOUT ÇA GRÂCE AUX JOLIES FILLES DE TONGRES…
La chance dans la vie tient parfois à très peu de choses et très souvent quelques petits vous mettent la cerise sur le gâteau. Ou malheureusement, le gâteau va à la poubelle avant d’avoir eu le temps ne serait-ce que de l’avoir goûter…
Mais voyez-vous, à cette époque, le gâteau s’appelait ‘’Tongres – Tongeren’’ et les cerises sur le gâteau n’étaient autres que les jolies tongroises…
Ah ces jolies filles de Tongres (2 Mai 2017)
« Tu sais nous confie-t-il, j’ai eu une carrière magnifique qui a démarré par un pur hasard. Si je te disais comment, je parie que tu ne me croirais pas ? ».
Et pourquoi pas ?
« J’habitais à Sainte Walburge et avec mes copains, nous allions à vélo voir les filles à Tongres. Figure-toi que ce jour-là, mes copains s’entraînaient dans le ‘’ trou’’ à Rocourt. Me voilà parti les voir s’entraîner. Ils n’étaient que… 21 joueurs ! Du coup, l’entraîneur m’appelle et me demande de faire le 22ème. On m’apporte une tenue de gardien de but et me voilà entre les perches ! J’ai fini la saison en scolaires (on a été champions), puis en juniors (champions) et en équipe première, la saison 1952-1953, où nous avons été champions de Belgique devant 35.000 personnes à Rocourt ! Tu t’imagines si je ne m’arrête pas pour aller voir les copains et que je file seul à Tongres, hein ! », nous narre-t-il avec un large sourire.
QUAND ROGER AGNEESSENS S’EN VA JOUER DES POINGS DANS LA TRIBUNE EN PLEIN MATCH…
Décidément, après le coup des rendez-vous manqués à Tongres, et tandis qu’il piaffe d’impatience sur le banc dans la cuvette de Rocourt, un autre événement, aussi surprenant que le premier, va orienter la future carrière du jeune Guy Delhasse…
En arrivant dans le noyau de l’équipe première du RFC Liégeois (saison 1952-1953), et alors qu’il n’avait que 19 ans, Guy Delhasse n’était que la doublure d’un autre monument à Rocourt, Roger Agneessens. Et là aussi l’anecdote en vaut la peine avec bien entendu tout le respect que nous avons pour Roger.
« Pendant le match, les supporters s’en étaient pris à Roger, ils lui avaient crié dessus pour ne pas dire plus. Tu sais bien qu’à Liège on a parfois aussi le sang chaud ! Du coup, Roger n’a fait ni une ni deux, il a grimpé dans la tribune pour aller régler ses comptes… Il a pris 6 mois de suspension et… j’en ai profité. Oh tu sais, Roger et moi, nous étions de bons amis et il était de toute façon en fin de carrière… ».
PLACE À LA CONVALESCENCE À PRÉSENT… ET PLUS QUESTION DE SOULEVER LES BACS DE FLEURS !
Puisque les nouvelles en provenance de Notre-Dame des Bruyères à Chênée sont bonnes, il va falloir envisager sa post-hospitalisation. Et ça ne sera pas une mince affaire…
Néanmoins, un heureux évènement l’attend, puisqu’il va devenir arrière-grand-père ! L’occasion de se retrouver pour faire la fête en famille. Et puis, Patrick devra se charger de bien l’encadrer chez lui, notamment pour les tâches ménagères mais surtout pour son jardin. Il me racontait d’ailleurs qu’un jour, un jeune voisin était venu pour l’aider et qu’il n’arrivait pas à soulever les lourds bacs à fleurs en pierre… « Tandis que moi, je les soulevais et les déplaçais sans forcer… ».
Fêter son anniversaire à l'hôpital, ce n'est pas un anniversaire comme les autres, n'est-ce pas...
Bien cher Guy, nous te souhaitons un joyeux quatre-vingt-onzième anniversaire, un prompt rétablissement et longue vie encore auprès de toutes celles et ceux qui t’aiment et que tu aimes…
Avec toutes nos Amitiés Monsieur DELHASSE…
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Jeanmi
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jfstassen
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Re: Que deviennent nos anciens ?
DB bat DB 0-1… ou quand deux de nos anciens entraîneurs se rencontrent !
https://www.dhnet.be/sports/sport-regio ... OYU5THQ7Y/
PS: Comme joueurs, ils ont dû évoluer quelques saisons dans la même équipe.
https://www.dhnet.be/sports/sport-regio ... OYU5THQ7Y/
PS: Comme joueurs, ils ont dû évoluer quelques saisons dans la même équipe.
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Re: Que deviennent nos anciens ?
L'arrêt du pied
Éric Vandebon a écrit :C'est surtout palpable quand on attaque dans le sens de la nouvelle tribune debout, on ressent une attraction. Cela fait plaisir et les supporters en redemandent.
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Re: Que deviennent nos anciens ?
jfstassen a écrit :N'oublions jamais le précepte Raphaello-Quarantien : "J'ai gagné, j'm'en fous !"
« Ear the news ? The dogs are dead »
Roger Waters - Sheep (Animals 1977)
« Oui mais René Collard il chausse mieux ! »
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Air Jipé
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Re: Que deviennent nos anciens ?
Blegny Liège ce WE en U 15.
Analyse du coach, et photo du groupe des joueurs des deux équipes. Le match s'inscrivait dans l'opération contre la violence dans le foot amateur.
À noter que ce match était particulier pour la maman de Nicolas, pilier de notre tribune debout, IDS en puissance pour agressions verbales vis à vis des arbitres. 
Nathan, le fils de Nicolas ne jouait pas, il était blessé.
Je suis certain qu'il sera au top pour le prochain match de Liège à domicile, à côté de son père et de ses cousines et cousin dans le kop.*
Mais aussi pour le 1 mai et la finale de la coupe de la Province contre .... Liège.
L'équipe de Nicolas et de Nathan a remporté cette coupe l'année dernière.
* Liège est un club familial, dans tous les sens du terme.
Analyse du coach, et photo du groupe des joueurs des deux équipes. Le match s'inscrivait dans l'opération contre la violence dans le foot amateur.
À noter que ce match était particulier pour la maman de Nicolas, pilier de notre tribune debout, IDS en puissance pour agressions verbales vis à vis des arbitres.
Nathan, le fils de Nicolas ne jouait pas, il était blessé.
Je suis certain qu'il sera au top pour le prochain match de Liège à domicile, à côté de son père et de ses cousines et cousin dans le kop.*
Mais aussi pour le 1 mai et la finale de la coupe de la Province contre .... Liège.
L'équipe de Nicolas et de Nathan a remporté cette coupe l'année dernière.
* Liège est un club familial, dans tous les sens du terme.
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
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Régis Sibille
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Re: Que deviennent nos anciens ?
Bertaccini monte contre le Standard qui mène 1-2 à 15 minutes du terme. S'il pouvait égaliser ou marquer le but de la victoire 
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Régis Sibille
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- Enregistré le : 29 févr. 2008, 16:16
- Localisation : Herstal
Re: Que deviennent nos anciens ?
Le temps que j'écrive, le Standard a fait 1-3 et ... Bertaccini a fait 2-3. Encore 5 minutes+ les arrêts de jeu.
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Jeanmi
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Re: Que deviennent nos anciens ?
3-3Régis Sibille a écrit : ↑12 avr. 2024, 22:32Le temps que j'écrive, le Standard a fait 1-3 et ... Bertaccini a fait 2-3. Encore 5 minutes+ les arrêts de jeu.
...mais écouter Délire 15 minutes m'a rendu fou! 
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