La P2
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roy
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Re: La P2
De retour à Liège avec Faimes ce dimanche, Luc Ernes va retrouver son club fétiche. L’occasion de se rappeler de nombreux souvenirs.
Qui aurait osé parier qu’un gamin de 16 ans et qui évoluait encore en première provinciale, dans le club de La Villersoise, allait signer quelques mois plus tard au RFC Liège, alors en Division1? Personne ou presque hormis Luc Ernes. Le petit gars de Villers a toujours cru en lui et a réalisé son rêve, celui de devenir joueur professionnel. Dans son club de cœur qui plus est. «J’étais convoité par Liège, Seraing et le Standard, explique “ Pigeon ”. Mais mon papa était fan du RFCL, tout comme moi. Et Robert Wasseige a su se montrer persuasif, il s’est même déplacé pour me voir jouer, cela voulait tout dire. »
Trente-cinq ans plus tard, les souvenirs sont encore intacts. Et Luc Ernes les raconte toujours avec autant de passion. Un seul regret: l’absence de sélection en équipe nationale. Mais de nombreux moments de bonheur. «Comme cette victoire de Coupe de Belgique en 1990 où j’avais inscrit le premier but, cela reste certainement mon plus beau souvenir, savoure encore l’ancien buteur. Il y a aussi eu les nombreux voyages à l’étranger, une première pour un casanier comme moi qui n’avait jamais pris l’avion. Cela m’a permis de jouer dans les plus grands stades européens et d’autres cultures. »
Malgré deux entraînements par jour et un statut de joueur professionnel, Luc Ernes n’en oubliait pas de faire la fête. « Les choses ont bien changé depuis et la mentalité a évolué, pointe celui qui est aussi passé par Charleroi et le RWDM. Avant, on faisait la fête après les matchs jusqu’à pas d’heure. Parfois, Robert Waseige (NDLR: entraîneur du RFC Liège à l’époque) nous renvoyait même de l’entraînement parce qu’on sentait la bière. Sans oublier ce fameux stage aux Pays-Bas où nous avions fait le mur pour aller boire. Le lendemain, Éric Gerets, qui avait pris la succession de Waseige, voulait nous féliciter et nous emmener faire la fête. Pas de chance, il a choisi le même café que celui où nous avions été la veille. Il nous a passé un sacré savon même si aujourd’hui, on en rigole. »
Même si depuis, il a fréquenté d’autres formations, Luc Ernes n’en oublie pas son club de cœur, celui qui lui a permis de se révéler au grand public. «À refaire, je pense même que je n’aurais jamais changé de club. » Car comme le dit si bien l’ancien Sang et Marine : «Quand on a un jour porté la vareuse du RFC Liège, on fait partie de ce club à vie. Je n’ai d’ailleurs qu’un seul club, c’est Liège ».
Qui aurait osé parier qu’un gamin de 16 ans et qui évoluait encore en première provinciale, dans le club de La Villersoise, allait signer quelques mois plus tard au RFC Liège, alors en Division1? Personne ou presque hormis Luc Ernes. Le petit gars de Villers a toujours cru en lui et a réalisé son rêve, celui de devenir joueur professionnel. Dans son club de cœur qui plus est. «J’étais convoité par Liège, Seraing et le Standard, explique “ Pigeon ”. Mais mon papa était fan du RFCL, tout comme moi. Et Robert Wasseige a su se montrer persuasif, il s’est même déplacé pour me voir jouer, cela voulait tout dire. »
Trente-cinq ans plus tard, les souvenirs sont encore intacts. Et Luc Ernes les raconte toujours avec autant de passion. Un seul regret: l’absence de sélection en équipe nationale. Mais de nombreux moments de bonheur. «Comme cette victoire de Coupe de Belgique en 1990 où j’avais inscrit le premier but, cela reste certainement mon plus beau souvenir, savoure encore l’ancien buteur. Il y a aussi eu les nombreux voyages à l’étranger, une première pour un casanier comme moi qui n’avait jamais pris l’avion. Cela m’a permis de jouer dans les plus grands stades européens et d’autres cultures. »
Malgré deux entraînements par jour et un statut de joueur professionnel, Luc Ernes n’en oubliait pas de faire la fête. « Les choses ont bien changé depuis et la mentalité a évolué, pointe celui qui est aussi passé par Charleroi et le RWDM. Avant, on faisait la fête après les matchs jusqu’à pas d’heure. Parfois, Robert Waseige (NDLR: entraîneur du RFC Liège à l’époque) nous renvoyait même de l’entraînement parce qu’on sentait la bière. Sans oublier ce fameux stage aux Pays-Bas où nous avions fait le mur pour aller boire. Le lendemain, Éric Gerets, qui avait pris la succession de Waseige, voulait nous féliciter et nous emmener faire la fête. Pas de chance, il a choisi le même café que celui où nous avions été la veille. Il nous a passé un sacré savon même si aujourd’hui, on en rigole. »
Même si depuis, il a fréquenté d’autres formations, Luc Ernes n’en oublie pas son club de cœur, celui qui lui a permis de se révéler au grand public. «À refaire, je pense même que je n’aurais jamais changé de club. » Car comme le dit si bien l’ancien Sang et Marine : «Quand on a un jour porté la vareuse du RFC Liège, on fait partie de ce club à vie. Je n’ai d’ailleurs qu’un seul club, c’est Liège ».
"Nos 3 objectifs stratégiques : la reconstruction sportive, le retour à Rocourt et la solidité financière du club" ( Président Lacomble, le 30 décembre 2014).
"Pour la rue de la Tonne, je me réjouis de voir ce projet aboutir. Tout en renouant avec le passé d’un club prestigieux, j’y vois aussi et surtout un investissement important en faveur de la jeunesse et du sport liégeois." (Willy Demeyer le 16 janvier 2015).
"Pour la rue de la Tonne, je me réjouis de voir ce projet aboutir. Tout en renouant avec le passé d’un club prestigieux, j’y vois aussi et surtout un investissement important en faveur de la jeunesse et du sport liégeois." (Willy Demeyer le 16 janvier 2015).
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marc barça
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Re: La P2
roy a écrit : ↑18 nov. 2017, 11:12De retour à Liège avec Faimes ce dimanche, Luc Ernes va retrouver son club fétiche. L’occasion de se rappeler de nombreux souvenirs.
Qui aurait osé parier qu’un gamin de 16 ans et qui évoluait encore en première provinciale, dans le club de La Villersoise, allait signer quelques mois plus tard au RFC Liège, alors en Division1? Personne ou presque hormis Luc Ernes. Le petit gars de Villers a toujours cru en lui et a réalisé son rêve, celui de devenir joueur professionnel. Dans son club de cœur qui plus est. «J’étais convoité par Liège, Seraing et le $tandard, explique “ Pigeon ”. Mais mon papa était fan du RFCL, tout comme moi. Et Robert Wasseige a su se montrer persuasif, il s’est même déplacé pour me voir jouer, cela voulait tout dire. »
Trente-cinq ans plus tard, les souvenirs sont encore intacts. Et Luc Ernes les raconte toujours avec autant de passion. Un seul regret: l’absence de sélection en équipe nationale. Mais de nombreux moments de bonheur. «Comme cette victoire de Coupe de Belgique en 1990 où j’avais inscrit le premier but, cela reste certainement mon plus beau souvenir, savoure encore l’ancien buteur. Il y a aussi eu les nombreux voyages à l’étranger, une première pour un casanier comme moi qui n’avait jamais pris l’avion. Cela m’a permis de jouer dans les plus grands stades européens et d’autres cultures. »
Malgré deux entraînements par jour et un statut de joueur professionnel, Luc Ernes n’en oubliait pas de faire la fête. « Les choses ont bien changé depuis et la mentalité a évolué, pointe celui qui est aussi passé par Charleroi et le RWDM. Avant, on faisait la fête après les matchs jusqu’à pas d’heure. Parfois, Robert Waseige (NDLR: entraîneur du RFC Liège à l’époque) nous renvoyait même de l’entraînement parce qu’on sentait la bière. Sans oublier ce fameux stage aux Pays-Bas où nous avions fait le mur pour aller boire. Le lendemain, Éric Gerets, qui avait pris la succession de Waseige, voulait nous féliciter et nous emmener faire la fête. Pas de chance, il a choisi le même café que celui où nous avions été la veille. Il nous a passé un sacré savon même si aujourd’hui, on en rigole. »
Même si depuis, il a fréquenté d’autres formations, Luc Ernes n’en oublie pas son club de cœur, celui qui lui a permis de se révéler au grand public. «À refaire, je pense même que je n’aurais jamais changé de club. » Car comme le dit si bien l’ancien Sang et Marine : «Quand on a un jour porté la vareuse du RFC Liège, on fait partie de ce club à vie. Je n’ai d’ailleurs qu’un seul club, c’est Liège ».
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hraskinet
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Re: La P2
roy a écrit : ↑18 nov. 2017, 11:12De retour à Liège avec Faimes ce dimanche, Luc Ernes va retrouver son club fétiche. L’occasion de se rappeler de nombreux souvenirs.
Qui aurait osé parier qu’un gamin de 16 ans et qui évoluait encore en première provinciale, dans le club de La Villersoise, allait signer quelques mois plus tard au RFC Liège, alors en Division1? Personne ou presque hormis Luc Ernes. Le petit gars de Villers a toujours cru en lui et a réalisé son rêve, celui de devenir joueur professionnel. Dans son club de cœur qui plus est. «J’étais convoité par Liège, Seraing et le $tandard, explique “ Pigeon ”. Mais mon papa était fan du RFCL, tout comme moi. Et Robert Wasseige a su se montrer persuasif, il s’est même déplacé pour me voir jouer, cela voulait tout dire. »
Trente-cinq ans plus tard, les souvenirs sont encore intacts. Et Luc Ernes les raconte toujours avec autant de passion. Un seul regret: l’absence de sélection en équipe nationale. Mais de nombreux moments de bonheur. «Comme cette victoire de Coupe de Belgique en 1990 où j’avais inscrit le premier but, cela reste certainement mon plus beau souvenir, savoure encore l’ancien buteur. Il y a aussi eu les nombreux voyages à l’étranger, une première pour un casanier comme moi qui n’avait jamais pris l’avion. Cela m’a permis de jouer dans les plus grands stades européens et d’autres cultures. »
Malgré deux entraînements par jour et un statut de joueur professionnel, Luc Ernes n’en oubliait pas de faire la fête. « Les choses ont bien changé depuis et la mentalité a évolué, pointe celui qui est aussi passé par Charleroi et le RWDM. Avant, on faisait la fête après les matchs jusqu’à pas d’heure. Parfois, Robert Waseige (NDLR: entraîneur du RFC Liège à l’époque) nous renvoyait même de l’entraînement parce qu’on sentait la bière. Sans oublier ce fameux stage aux Pays-Bas où nous avions fait le mur pour aller boire. Le lendemain, Éric Gerets, qui avait pris la succession de Waseige, voulait nous féliciter et nous emmener faire la fête. Pas de chance, il a choisi le même café que celui où nous avions été la veille. Il nous a passé un sacré savon même si aujourd’hui, on en rigole. »
Même si depuis, il a fréquenté d’autres formations, Luc Ernes n’en oublie pas son club de cœur, celui qui lui a permis de se révéler au grand public. «À refaire, je pense même que je n’aurais jamais changé de club. » Car comme le dit si bien l’ancien Sang et Marine : «Quand on a un jour porté la vareuse du RFC Liège, on fait partie de ce club à vie. Je n’ai d’ailleurs qu’un seul club, c’est Liège ».
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guym
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Re: La P2
non c'est mon libraire qui m'a montré l'article et les photos, je n'achète pas vers l'avenir huy -waremme
jps Le "Liègionnaire""Buvez du Lait"
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Jean-Yves
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Re: La P2
Surtout de Playboy et Penthouse
"Moi je dis souvent : mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". Freddy Mombongo le 17/09/2017.
"Liège, c'est le premier club à Liège". Le même (même jour, même heure)
9 personnes sur 10 aiment le Royal Football Club Liégeois. La dixième ment...
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Jean-Yves
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Re: La P2
Victoire 5-3 contre Faimes.
"Moi je dis souvent : mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". Freddy Mombongo le 17/09/2017.
"Liège, c'est le premier club à Liège". Le même (même jour, même heure)
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thema
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- Enregistré le : 14 sept. 2004, 21:49
Re: La P2
Révélateur ...
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
« Les Liégeois ont été plus que tous les ans domptés, néanmoins, ils ont toujours relevé leurs crestes »
Michel de l’Hospital, 1558.
Michel de l’Hospital, 1558.
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CEW 66
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- Localisation : Adorateur de Saint Moréno
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marc barça
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Re: La P2
+1892
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Air Jipé
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Re: La P2
Encore un sale coup des fonctionnaires et des grévisssss.
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Herbi
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- Localisation : 50°41' Latitude Nord / 5°15' Longitude Est
Re: La P2
En effet, vraiment honteux qu'un intérimaire ne preste pas plus que ses heures et ne passe pas sa soirée du samedi à servir des soûlards jusque 2h du mat' !
Pourritures d'employés précaires !
Pourritures d'employés précaires !
"Les chroniqueurs de rock sont des gens incapables d'écrire, interrogeant des gens incapables de parler, pour des gens incapables de lire."
Frank Zappa
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