Que deviennent nos anciens ?
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Re: Que deviennent nos anciens ?
Article sur le King sur la DH en ligne.
jfstassen a écrit :N'oublions jamais le précepte Raphaello-Quarantien : "J'ai gagné, j'm'en fous !"
« Ah, encore une chose. Je vous conseille d'éviter la mousse au chocolat du patron »
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Re: Que deviennent nos anciens ?
"Nos 3 objectifs stratégiques : la reconstruction sportive, le retour à Rocourt et la solidité financière du club" ( Président Lacomble, le 30 décembre 2014).
"Pour la rue de la Tonne, je me réjouis de voir ce projet aboutir. Tout en renouant avec le passé d’un club prestigieux, j’y vois aussi et surtout un investissement important en faveur de la jeunesse et du sport liégeois." (Willy Demeyer le 16 janvier 2015).
"Pour la rue de la Tonne, je me réjouis de voir ce projet aboutir. Tout en renouant avec le passé d’un club prestigieux, j’y vois aussi et surtout un investissement important en faveur de la jeunesse et du sport liégeois." (Willy Demeyer le 16 janvier 2015).
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Re: Que deviennent nos anciens ?
Content pour lui !
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jfstassen
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Re: Que deviennent nos anciens ?
Très belle article sur notre Ancien Osvaldo Lesti
Lucien Longree
10 novembre 2017 ·
Osvaldo Lesti : UN SOLEIL ITALIEN AU PAYS DES CORONS…
Au Nord, c’était les Corons, la terre c’était le charbon, le ciel c’était l’horizon, les hommes des mineurs de fond ! Quel bel hommage de Pierre Bachelet à tous ces hommes ayant quitté leurs terres et parfois leurs familles pour venir travailler dans nos mines. Si pendant dix ans, nous avons eu le plaisir d’applaudir et de vibrer devant les prouesses d’Osvaldo, c’est en grande partie grâce à Umberto son papa qui, tout en rejoignant nos houillères, pris la peine d’emmener avec lui sa femme et son petit gamin de quatre ans, haut comme trois pommes. Quelques années plus tard, « Il piccolo sole delle Marche splendeva nella ciotola di Rocourt ». Traduction : Le petit soleil de Marche (une Province au Sud-Est de l’Italie) brillait dans la cuvette de Rocourt.
LE LONG CHEMIN DE PAPA UMBERTO ET LES BARAQUES DE HOLLOGNE…
Et c’est bien vrai, que quelque part, lorsque son Papa prit sa valise pour rejoindre le Nord, le petit Osvaldo était bien loin de penser qu’un jour il taperait le ballon dans un stade plein à craquer aux chants « Rouge et Bleu ».
« J’avais tout juste 4 ans quand je suis arrivé en Belgique précise Osvaldo. Mon Papa était parti bien avant nous pour venir dans le Nord travailler dans la mine (1952). Il s’est d’abord arrêté à Metz, où nous avions de la famille, mais il n’est pas resté très longtemps. Il a finalement pris le chemin de la Belgique, il s’est arrêté à Hollogne-aux-Pierres. Là, il a commencé à travailler au charbonnage [Le Corbeau] qui faisait partie du site minier [Le Bonnier] à Grâce-Berleur – Hollogne-aux-Pierres. Ce n’est qu’en 1954 que maman Modesta et sa famille sont venus en Belgique. Nous logions dans de petites baraques, mon Papa travaillait au mètre, soit un petit trou de 1m de large sur 60cm de hauteur, pour creuser. C’était difficile et dangereux. Malgré ce métier difficile, Papa s’est bien soigné, il est décédé à 78 ans ».
A HUIT ANS OSVALDO S’ENTRAINAIT AVEC LES CADETS DE 12 ANS…
Une fois que Papa Umberto eut les moyens, il quitta les fameuses baraques pour louer une maison à Hollogne-aux-Pierres. Du coup, c’est sous les couleurs 3Bleu & Blanc » qu’Osvaldo fit ses premiers dribbles. « Tu sais que je m’entrainais depuis l’âge de 8 ans avec les Cadets qui avaient 12 ans, sourit-il. Je me souviens encore de mon premier match officiel à Othée (1962). En 1964, je suis monté en scolaires et, comme je ne jouais pas trop mal, le Standard et le RFC Liégeois sont venus voir après moi. Nous avions joué contre le Standard 2-2 et je jouais milieu de terrain. Et j’ai choisi Liège car à cette époque Liège était beaucoup plus fort que le Standard ! Liège avait déjà une école des jeunes structurées et c’est Roger Agneessens en personne qui est venu me chercher à Hollogne. Je garde un mauvais souvenir de mes débuts à Rocourt. Dans l’équipe, c’était tous des « fils à papa qui me snobaient et me taclaient ! Trop gentil, je n’osais pas réagir. Après quelques entrainements, on s’entrait 4x/semaine, Agneessens m’appela dans son bureau : Je suis allé te chercher, si tu continues, je te ramène ! Du coup, j’ai mis le pied et je me suis fait respecter ».
UN PREMIER MATCH À LA PLACE D’YVES BARÉ …
Le hasard fait parfois voire toujours bien les choses. C’est ainsi que pour son premier match en équipe première, Osvaldo remplaça celui qui allait devenir son entraineur quelques années plus tard, Yves Baré. « J’évoluais en Juniors UEFA (15-18 ans) alors que je n’avais que 16 ans. Louis Dupal, qui entrainait la première, venait souvent nous voir jouer. Il m’a d’abord appelé pour disputer deux matchs amicaux, dont un à St Trond face à Polleunis, Koens, Vanderloop et consorts. Mais mon tout premier match officiel, je l’ai joué à Beveren. Yves Baré s’était blessé à l’épaule et j’ai pris sa place au stopper. Pour mon premier match, je devais tenir Jean Janssens, un fameux joueur. Quand Yves est rentré après sa blessure, j’ai voyagé entre les UEFA et la première. Je me souviens qu’avec les UEFA, nous avons joué la finale du championnat de Belgique contre Anderlecht. Score final 0-0 mais Anderlecht a été sacré champion au plus grand nombre de corners. Tu t’imagines quel règlement à la con ». Note que depuis cher Osvaldo, ça n’a pas beaucoup évolué du côté de la grande maison de verre…
QUEL DOMMAGE QUE ROBERT SOIT ARRIVÉ TROP TARD…
Ou qu’Osvaldo soit parti trop tôt, this is the good question ?
« Oui tu as tout à fait raison, enchaine-t-il. Quand tu penses que j’ai arrêté ma carrière à 28 ans ! A cause d’une personne dont je tairai le nom, qui a préféré engager un hollandais (Medik) plutôt que de payer ses propres joueurs. Il a joué quelques matchs, il s’est blessé, il s’est fait opérer, a rejoué quelques matchs et est reparti comme il était venu. A ce moment, j’ai vraiment regretté ne pas avoir écouté Nico Dewalque qui, en 1972, m’avait demandé pour aller au Standard. Si mes souvenirs sont bon, ils ont engagé Théo Poels. A c’est un regret bien entendu de n’avoir jamais joué un match de Coupe d’Europe. Que veux-tu, Robert Waseige est arrivé plus tard et moi, je suis parti trop tôt. Pourtant, j’ai joué contre Robert, il jouait encore au Racing White avant la fusion. Un adversaire coriace aussi, c’était Raoul Lambert (FC Bruges). Je me souviens, je l’avais tellement bien neutralisé que le lundi, la presse écrivait : Lambert, mis sous l’éteignoir par Lesti et réduit à donner les rentrées en touche ».
ENTRAINEUR OUI, joueur-entraineur… NON !
Une fois sa décision prise d’arrêter sa carrière au RFCL, Osvaldo a fait deux expériences en tant que joueur-entraineur, avant d’arrêter définitivement le foot et se lancer dans le tennis. « Ma première expérience à Xhoffraix pendant 2 ans en 2ème Provinciale. Deux fois 110kms à chaque fois. Ensuite à Loncin, 1 saison aussi en 2ème Provinciale. Très humblement, c’est un monde très différent la Provinciale. Attention, avec tout le respect pour eux, les terrains étaient différents, les joueurs aussi. Finalement, j’ai préféré jouer au Tennis, d’abord au Smash 21 à Liers, ensuite à Flémalle. J’ai 67 ans, je me suis arrêté il y a 4 ans… ».
QUELQUES SOUVENIRS ET LES COACHS…
Dix ans au plus haut niveau, ce n’est pas mal du tout, même si à 28 ans, Osvaldo Lesti avait encore de belles années devant lui. Petit clin d’œil dans le rétro pour se remémorer les coachs, préparateurs physiques et quelques souvenirs…
« Finalement, j’aurai connu cinq entraineurs termine Osvaldo : Louis Dupal, Antoine Bassler, Roger Agneessens, Michel Pavic, Victor Wégria, Hubert Martens et Yves Baré. Et aussi deux préparateurs physiques : Wim Lejeune et Maurice Lempereur. Au rayon des bons souvenirs, notre derby contre le Standard (4-3) à Rocourt, notre ½ finale de Coupe de Belgique perdue au LIerse (2-1) après un super match et les années avec Michel Pavic. Si je devais recommencer ma carrière, je ne changerais pas grand-chose. Sauf peut-être le Standard. Tu sais si Nico m’a demandé d’y aller, c’est qu’il m’appréciait ».
PETITE SEQUENCE NOSTALGIE POUR TERMINER…
« Quand je jouais en première à Liège, conclut Osvaldo, mon Papa me disait toujours, fais attention à ton argent, ne le jettes pas par la fenêtre, surtout pas dans les voitures. Du coup, j’ai acheté un terrain à Herstal, où j’ai fait construire une maison pour moi et mes parents » !
Bravo Osvaldo et merci pour ces quelques bons moments passés ensemble. Ta gentillesse et ta modestie séduiront plus d’un lecteur et crois-moi bien, rares sont ceux qui ont oublié l’élégant blondinet svelte et vivace que tu fus…
Le numéro 4 et le matricule 4 allaient de pair...
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LUCIEN
Lucien Longree
10 novembre 2017 ·
Osvaldo Lesti : UN SOLEIL ITALIEN AU PAYS DES CORONS…
Au Nord, c’était les Corons, la terre c’était le charbon, le ciel c’était l’horizon, les hommes des mineurs de fond ! Quel bel hommage de Pierre Bachelet à tous ces hommes ayant quitté leurs terres et parfois leurs familles pour venir travailler dans nos mines. Si pendant dix ans, nous avons eu le plaisir d’applaudir et de vibrer devant les prouesses d’Osvaldo, c’est en grande partie grâce à Umberto son papa qui, tout en rejoignant nos houillères, pris la peine d’emmener avec lui sa femme et son petit gamin de quatre ans, haut comme trois pommes. Quelques années plus tard, « Il piccolo sole delle Marche splendeva nella ciotola di Rocourt ». Traduction : Le petit soleil de Marche (une Province au Sud-Est de l’Italie) brillait dans la cuvette de Rocourt.
LE LONG CHEMIN DE PAPA UMBERTO ET LES BARAQUES DE HOLLOGNE…
Et c’est bien vrai, que quelque part, lorsque son Papa prit sa valise pour rejoindre le Nord, le petit Osvaldo était bien loin de penser qu’un jour il taperait le ballon dans un stade plein à craquer aux chants « Rouge et Bleu ».
« J’avais tout juste 4 ans quand je suis arrivé en Belgique précise Osvaldo. Mon Papa était parti bien avant nous pour venir dans le Nord travailler dans la mine (1952). Il s’est d’abord arrêté à Metz, où nous avions de la famille, mais il n’est pas resté très longtemps. Il a finalement pris le chemin de la Belgique, il s’est arrêté à Hollogne-aux-Pierres. Là, il a commencé à travailler au charbonnage [Le Corbeau] qui faisait partie du site minier [Le Bonnier] à Grâce-Berleur – Hollogne-aux-Pierres. Ce n’est qu’en 1954 que maman Modesta et sa famille sont venus en Belgique. Nous logions dans de petites baraques, mon Papa travaillait au mètre, soit un petit trou de 1m de large sur 60cm de hauteur, pour creuser. C’était difficile et dangereux. Malgré ce métier difficile, Papa s’est bien soigné, il est décédé à 78 ans ».
A HUIT ANS OSVALDO S’ENTRAINAIT AVEC LES CADETS DE 12 ANS…
Une fois que Papa Umberto eut les moyens, il quitta les fameuses baraques pour louer une maison à Hollogne-aux-Pierres. Du coup, c’est sous les couleurs 3Bleu & Blanc » qu’Osvaldo fit ses premiers dribbles. « Tu sais que je m’entrainais depuis l’âge de 8 ans avec les Cadets qui avaient 12 ans, sourit-il. Je me souviens encore de mon premier match officiel à Othée (1962). En 1964, je suis monté en scolaires et, comme je ne jouais pas trop mal, le Standard et le RFC Liégeois sont venus voir après moi. Nous avions joué contre le Standard 2-2 et je jouais milieu de terrain. Et j’ai choisi Liège car à cette époque Liège était beaucoup plus fort que le Standard ! Liège avait déjà une école des jeunes structurées et c’est Roger Agneessens en personne qui est venu me chercher à Hollogne. Je garde un mauvais souvenir de mes débuts à Rocourt. Dans l’équipe, c’était tous des « fils à papa qui me snobaient et me taclaient ! Trop gentil, je n’osais pas réagir. Après quelques entrainements, on s’entrait 4x/semaine, Agneessens m’appela dans son bureau : Je suis allé te chercher, si tu continues, je te ramène ! Du coup, j’ai mis le pied et je me suis fait respecter ».
UN PREMIER MATCH À LA PLACE D’YVES BARÉ …
Le hasard fait parfois voire toujours bien les choses. C’est ainsi que pour son premier match en équipe première, Osvaldo remplaça celui qui allait devenir son entraineur quelques années plus tard, Yves Baré. « J’évoluais en Juniors UEFA (15-18 ans) alors que je n’avais que 16 ans. Louis Dupal, qui entrainait la première, venait souvent nous voir jouer. Il m’a d’abord appelé pour disputer deux matchs amicaux, dont un à St Trond face à Polleunis, Koens, Vanderloop et consorts. Mais mon tout premier match officiel, je l’ai joué à Beveren. Yves Baré s’était blessé à l’épaule et j’ai pris sa place au stopper. Pour mon premier match, je devais tenir Jean Janssens, un fameux joueur. Quand Yves est rentré après sa blessure, j’ai voyagé entre les UEFA et la première. Je me souviens qu’avec les UEFA, nous avons joué la finale du championnat de Belgique contre Anderlecht. Score final 0-0 mais Anderlecht a été sacré champion au plus grand nombre de corners. Tu t’imagines quel règlement à la con ». Note que depuis cher Osvaldo, ça n’a pas beaucoup évolué du côté de la grande maison de verre…
QUEL DOMMAGE QUE ROBERT SOIT ARRIVÉ TROP TARD…
Ou qu’Osvaldo soit parti trop tôt, this is the good question ?
« Oui tu as tout à fait raison, enchaine-t-il. Quand tu penses que j’ai arrêté ma carrière à 28 ans ! A cause d’une personne dont je tairai le nom, qui a préféré engager un hollandais (Medik) plutôt que de payer ses propres joueurs. Il a joué quelques matchs, il s’est blessé, il s’est fait opérer, a rejoué quelques matchs et est reparti comme il était venu. A ce moment, j’ai vraiment regretté ne pas avoir écouté Nico Dewalque qui, en 1972, m’avait demandé pour aller au Standard. Si mes souvenirs sont bon, ils ont engagé Théo Poels. A c’est un regret bien entendu de n’avoir jamais joué un match de Coupe d’Europe. Que veux-tu, Robert Waseige est arrivé plus tard et moi, je suis parti trop tôt. Pourtant, j’ai joué contre Robert, il jouait encore au Racing White avant la fusion. Un adversaire coriace aussi, c’était Raoul Lambert (FC Bruges). Je me souviens, je l’avais tellement bien neutralisé que le lundi, la presse écrivait : Lambert, mis sous l’éteignoir par Lesti et réduit à donner les rentrées en touche ».
ENTRAINEUR OUI, joueur-entraineur… NON !
Une fois sa décision prise d’arrêter sa carrière au RFCL, Osvaldo a fait deux expériences en tant que joueur-entraineur, avant d’arrêter définitivement le foot et se lancer dans le tennis. « Ma première expérience à Xhoffraix pendant 2 ans en 2ème Provinciale. Deux fois 110kms à chaque fois. Ensuite à Loncin, 1 saison aussi en 2ème Provinciale. Très humblement, c’est un monde très différent la Provinciale. Attention, avec tout le respect pour eux, les terrains étaient différents, les joueurs aussi. Finalement, j’ai préféré jouer au Tennis, d’abord au Smash 21 à Liers, ensuite à Flémalle. J’ai 67 ans, je me suis arrêté il y a 4 ans… ».
QUELQUES SOUVENIRS ET LES COACHS…
Dix ans au plus haut niveau, ce n’est pas mal du tout, même si à 28 ans, Osvaldo Lesti avait encore de belles années devant lui. Petit clin d’œil dans le rétro pour se remémorer les coachs, préparateurs physiques et quelques souvenirs…
« Finalement, j’aurai connu cinq entraineurs termine Osvaldo : Louis Dupal, Antoine Bassler, Roger Agneessens, Michel Pavic, Victor Wégria, Hubert Martens et Yves Baré. Et aussi deux préparateurs physiques : Wim Lejeune et Maurice Lempereur. Au rayon des bons souvenirs, notre derby contre le Standard (4-3) à Rocourt, notre ½ finale de Coupe de Belgique perdue au LIerse (2-1) après un super match et les années avec Michel Pavic. Si je devais recommencer ma carrière, je ne changerais pas grand-chose. Sauf peut-être le Standard. Tu sais si Nico m’a demandé d’y aller, c’est qu’il m’appréciait ».
PETITE SEQUENCE NOSTALGIE POUR TERMINER…
« Quand je jouais en première à Liège, conclut Osvaldo, mon Papa me disait toujours, fais attention à ton argent, ne le jettes pas par la fenêtre, surtout pas dans les voitures. Du coup, j’ai acheté un terrain à Herstal, où j’ai fait construire une maison pour moi et mes parents » !
Bravo Osvaldo et merci pour ces quelques bons moments passés ensemble. Ta gentillesse et ta modestie séduiront plus d’un lecteur et crois-moi bien, rares sont ceux qui ont oublié l’élégant blondinet svelte et vivace que tu fus…
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LUCIEN
jps Le "Liègionnaire""Buvez du Lait"
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jps
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Re: Que deviennent nos anciens ?
Officiel: Dylan Lambrecth quittera Hamoir en fin de saison
Home > Sport > Football > D2 ACFF - Hier à 19:29 - Anthony RIZZI - L'Avenir
Officiel: Dylan Lambrecth quittera Hamoir en fin de saison
Dylan Lambrecth s’en ira en fin de saison.
Yves Bircic
Le redoutable avant de Hamoir vient de l’annoncer: il ne restera pas au club une 3e saison. Un choix de vie.
Encore une annonce de départ. E t partout, dans tous les clubs, même si on ne joue pas, elles risquent de se multiplier dans les prochaines semaines. Le futur mercato estival est lancé.
Celle-ci concerne Hamoir, club, comme on le sait, de D2 ACFF. Dylan Lambrecth, l’avant de 28 ans, quittera les Rats en fin de saison après deux campagnes en bordure de Néblon.. Un choix attendu finalement. « J’ai changé de vie, dit-il. J’ai désormais un bébé et je bosse dans la construction générale. Je ne peux plus combiner le foot à un certain niveau et le reste. Puis, la saison blanche n’a rien arrangé. On ne peut pas tout faire. Mais je ne fais pas une croix sur le foot. Je suis ouvert à un challenge en D3 ou en P1. »
Un premier départ donc du côté de Hamoir où on devrait y voir plus clair quant au staff et aux ambitions dans les prochaines semaines.
Home > Sport > Football > D2 ACFF - Hier à 19:29 - Anthony RIZZI - L'Avenir
Officiel: Dylan Lambrecth quittera Hamoir en fin de saison
Dylan Lambrecth s’en ira en fin de saison.
Yves Bircic
Le redoutable avant de Hamoir vient de l’annoncer: il ne restera pas au club une 3e saison. Un choix de vie.
Encore une annonce de départ. E t partout, dans tous les clubs, même si on ne joue pas, elles risquent de se multiplier dans les prochaines semaines. Le futur mercato estival est lancé.
Celle-ci concerne Hamoir, club, comme on le sait, de D2 ACFF. Dylan Lambrecth, l’avant de 28 ans, quittera les Rats en fin de saison après deux campagnes en bordure de Néblon.. Un choix attendu finalement. « J’ai changé de vie, dit-il. J’ai désormais un bébé et je bosse dans la construction générale. Je ne peux plus combiner le foot à un certain niveau et le reste. Puis, la saison blanche n’a rien arrangé. On ne peut pas tout faire. Mais je ne fais pas une croix sur le foot. Je suis ouvert à un challenge en D3 ou en P1. »
Un premier départ donc du côté de Hamoir où on devrait y voir plus clair quant au staff et aux ambitions dans les prochaines semaines.
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Roger CHARLES
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Re: Que deviennent nos anciens ?
Quel talent gaché!
Avec un peu de sérieux, il avait largement sa place en D1.
Avec un peu de sérieux, il avait largement sa place en D1.
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Re: Que deviennent nos anciens ?
Discuté avec un gars qui a bossé pour Liechtenstein sur son transfert. On en a, malgré tout (d’après lui), tiré un prix correct.
A l’époque Anderlecht n’a pas voulu prendre le risque d’encore passer à côté d’un Meunier - Sterchelle - Emonds....
Problème Weiller n’était absolument pas demandeur. Quant à Mercier et Grosjean ensuite ; le premier était déjà sur un siège éjectable à Roulers et le second (Union à l’époque)... c’est le second que l’on connaît quoi
A l’époque Anderlecht n’a pas voulu prendre le risque d’encore passer à côté d’un Meunier - Sterchelle - Emonds....
Problème Weiller n’était absolument pas demandeur. Quant à Mercier et Grosjean ensuite ; le premier était déjà sur un siège éjectable à Roulers et le second (Union à l’époque)... c’est le second que l’on connaît quoi
jfstassen a écrit :N'oublions jamais le précepte Raphaello-Quarantien : "J'ai gagné, j'm'en fous !"
« Ah, encore une chose. Je vous conseille d'éviter la mousse au chocolat du patron »
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Re: Que deviennent nos anciens ?
Humble, discret, efficace.
Il est comme bien d'autres un symbole de notre club, et de ce qu'est notre club.
En taille, il n'était pas le plus grand, mais il avait une détente verticale impressionnante.
Sur Wikipédia, il n'aurait joué que 13 matchs en équipe première, c'est faux bien sûr.
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CEW 66
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Re: Que deviennent nos anciens ?
Laurent Gomez désigné T1 de Meux - https://www.dhnet.be/sports/sport-regio ... 27df91f44d
jfstassen a écrit :N'oublions jamais le précepte Raphaello-Quarantien : "J'ai gagné, j'm'en fous !"
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Re: Que deviennent nos anciens ?
Romain Matthys, titulaire pour la première fois avec le RWDM: "Il est temps de m’imposer en D1B" - https://www.dhnet.be/sports/football/di ... 52f72efacf
jfstassen a écrit :N'oublions jamais le précepte Raphaello-Quarantien : "J'ai gagné, j'm'en fous !"
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Re: Que deviennent nos anciens ?
Dans La Meuse, le commentaire sur sa prestation n'était pas flateuse.
Cote de 4,5 :
il s’est fait peur à
trois reprises en relâchant le cuir
alors qu’il n’était pas sous pression.
Il n’a pas eu l’assurance
d’un Sadin.
Cote de 4,5 :
il s’est fait peur à
trois reprises en relâchant le cuir
alors qu’il n’était pas sous pression.
Il n’a pas eu l’assurance
d’un Sadin.
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Re: Que deviennent nos anciens ?
En même temps son premier match avec nous avait été catastrophique avec deux goals pour lui.
Confiance, il peut supplanter Landru
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jfstassen a écrit :N'oublions jamais le précepte Raphaello-Quarantien : "J'ai gagné, j'm'en fous !"
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Re: Que deviennent nos anciens ?
Liège - Anderlecht J-4: Bruzzese aurait pu retrouver Liège mercredi ! - https://www.dhnet.be/sports/sport-regio ... 52f751ad37
jfstassen a écrit :N'oublions jamais le précepte Raphaello-Quarantien : "J'ai gagné, j'm'en fous !"
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Re: Que deviennent nos anciens ?
Wetteren-Union débute à l'instant, Kakou titulaire.
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jfstassen
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Re: Que deviennent nos anciens ?
Bonne nouvelle ! En espérant quand même que les deux buts de l’Union ne sont pas dus à des erreurs de Kakou !
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CEW 66
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Re: Que deviennent nos anciens ?
Eupen : un gardien arrive, un autre part
Eupen s'est attaché les services du gardien allemand Robin Himmelmann et prête dans le même temps Ortwin De Wolf à l'Antwerp jusqu'à la fin de la saison, a confirmé le club germanophone lundi.
Himmelmann, 31 ans, évoluait depuis 2012 pour le FC St. Pauli en Allemagne. Il a signé un contrat jusqu'au terme de la saison avec les 'Pandas'.
Le club germanophone a également officialisé le prêt d'Ortwin De Wolf à l'Antwerp. De Wolf a joué 12 rencontres pour Eupen cette saison avant de céder sa place à Théo Defourny. Chez les Anversois, il vient suppléer Jean Butez, absent pour plusieurs semaines après une blessure à la cheville.
Eupen s'est attaché les services du gardien allemand Robin Himmelmann et prête dans le même temps Ortwin De Wolf à l'Antwerp jusqu'à la fin de la saison, a confirmé le club germanophone lundi.
Himmelmann, 31 ans, évoluait depuis 2012 pour le FC St. Pauli en Allemagne. Il a signé un contrat jusqu'au terme de la saison avec les 'Pandas'.
Le club germanophone a également officialisé le prêt d'Ortwin De Wolf à l'Antwerp. De Wolf a joué 12 rencontres pour Eupen cette saison avant de céder sa place à Théo Defourny. Chez les Anversois, il vient suppléer Jean Butez, absent pour plusieurs semaines après une blessure à la cheville.
jfstassen a écrit :N'oublions jamais le précepte Raphaello-Quarantien : "J'ai gagné, j'm'en fous !"
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