Soirée de gala

[marc barça]

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Photo de la soirée au Musée.
A part Zvonko il en manque tant que ça?

Varga est pour moi un des éléments qui ont amené Liège à son sommet (Benfica ...) Un INCONTOURNABLE dans l'histoire du club.
A titre personnel, j'ai 51 ans et mon père et grand père, m'ont abreuvé de commentaires ultra positifs sur Victor Wégria. J'ai eu l'occasion de le rencontrer et je peux t'assurer que c'est un jour que je ne suis pas prêt d'oublier . Quelle simplicité cette homme !

[JoeDalton]

375€ (*) ça fait un peu cher pour serrer la main de Zvonko, à ce prix là j'ai le vol aller-retour et la nuit d'hotel à Belgrade


(*) 125€ pour la soirée, puis le repas avec mon épouse pour le même montant

[guym]

Budget pour les 125 ans : 200 € (125 € pour le repas du vendredi 8 + 2 x 25 € pour les deux bouquins + 25 € pour les bières 'S & M') ; + les extras

[CEW 66]

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Photo de la soirée au Musée.
A part Zvonko il en manque tant que ça?

Varga est pour moi un des éléments qui ont amené Liège à son sommet (Benfica ...) Un INCONTOURNABLE dans l'histoire du club.
A titre personnel, j'ai 51 ans et mon père et grand père, m'ont abreuvé de commentaires ultra positifs sur Victor Wégria. J'ai eu l'occasion de le rencontrer et je peux t'assurer que c'est un jour que je ne suis pas prêt d'oublier . Quelle simplicité cette homme !

F’est fur !

[Mortimer]

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Photo de la soirée au Musée.
A part Zvonko il en manque tant que ça?

Varga est pour moi un des éléments qui ont amené Liège à son sommet (Benfica ...) Un INCONTOURNABLE dans l'histoire du club.
A titre personnel, j'ai 51 ans et mon père et grand père, m'ont abreuvé de commentaires ultra positifs sur Victor Wégria. J'ai eu l'occasion de le rencontrer et je peux t'assurer que c'est un jour que je ne suis pas prêt d'oublier . Quelle simplicité cette homme !

[frederic 1974]

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Photo de la soirée au Musée.
A part Zvonko il en manque tant que ça?

Varga est pour moi un des éléments qui ont amené Liège à son sommet (Benfica ...) Un INCONTOURNABLE dans l'histoire du club.
A titre personnel, j'ai 51 ans et mon père et grand père, m'ont abreuvé de commentaires ultra positifs sur Victor Wégria. J'ai eu l'occasion de le rencontrer et je peux t'assurer que c'est un jour que je ne suis pas prêt d'oublier . Quelle simplicité cette homme !

C'était le joueur que je préférais , très bon jeu de tête malgré une petite taille , un buteur rare et une très bonne mentalité .
On a eu la chance de le voir pendant plusieurs années , il faut dire que l'équipe de l'époque était bien balancée .
Que de bons souvenirs .

[jfstassen]

Si d'autres générations ont eu d'autres joueurs à admirer : Carré et Anoul pour certains, Wégria pour d'autres, Courant, puis Sljivo... pour ma génération, ce fut Varga. Je crois que Zvonko restera toujours au sommet de mes souvenirs footballistiques... pour l'ensemble de son oeuvre, même si certains moments gardent une place spéciale :
- l'égalisation contre Benfica ou l'illustration de ce qu'est un renard des surfaces
- l'ouverture du score un soir d'automne 1988 face à la silhouette du haut-fourneau d'Ougrée, prélude à un 0-3 d'anthologie
- sur un terrain enneigé, par un froid de canard, quand il prit le ballon au centre du terrain, qu'il passa en revue quasi toute la défense du Club de Bruges avant de glisser le ballon à raz de terre et au raz du piquet de Jensen (???)... une impression rare mais véridique : ce soir-là, avant ce but, j'étais frigorifié; un courant chaud m'a littéralement traversé au moment de l'action et, après, je n'avais plus froid !!!
- un des derniers buts inscrits dans notre vaisseau de Rocourt, un soir de cette saison malheureuse 94-95 qui s'est traînée avec bien trop peu d'éclaircies... mais celle-là, d'un petit tir lobé au milieu d'une défense gantoise médusée, fut un énorme satisfaction
- le soir du titre 96, à Eupen, une heure après le match, tout le monde faisait la fête, Zvonko était là, paisible à observer l'agitation d'un air amusé, bien moins excité que les autres, joueurs ou supporters, mais dégageant une sérénité qui reflète la grande satisfaction du devoir accompli (que le but qu'il avait encore inscrit ce soir-là lui ressemblait !!!)... je me suis approché et j'ai échangé quelques mots avec lui, j'avais envie de lui exprimer une idée simple mais forte : l'importance qu'un joueur tel que lui pouvait avoir pour un supporter tel que moi...

[Air Jipé]

Si d'autres générations ont eu d'autres joueurs à admirer : Carré et Anoul pour certains, Wégria pour d'autres, Courant, puis Sljivo... pour ma génération, ce fut Varga. Je crois que Zvonko restera toujours au sommet de mes souvenirs footballistiques... pour l'ensemble de son oeuvre, même si certains moments gardent une place spéciale :
- l'égalisation contre Benfica ou l'illustration de ce qu'est un renard des surfaces
- l'ouverture du score un soir d'automne 1988 face à la silhouette du haut-fourneau d'Ougrée, prélude à un 0-3 d'anthologie
- sur un terrain enneigé, par un froid de canard, quand il prit le ballon au centre du terrain, qu'il passa en revue quasi toute la défense du Club de Bruges avant de glisser le ballon à raz de terre et au raz du piquet de Jensen (???)... une impression rare mais véridique : ce soir-là, avant ce but, j'étais frigorifié; un courant chaud m'a littéralement traversé au moment de l'action et, après, je n'avais plus froid !!!
- un des derniers buts inscrits dans notre vaisseau de Rocourt, un soir de cette saison malheureuse 94-95 qui s'est traînée avec bien trop peu d'éclaircies... mais celle-là, d'un petit tir lobé au milieu d'une défense gantoise médusée, fut un énorme satisfaction
- le soir du titre 96, à Eupen, une heure après le match, tout le monde faisait la fête, Zvonko était là, paisible à observer l'agitation d'un air amusé, bien moins excité que les autres, joueurs ou supporters, mais dégageant une sérénité qui reflète la grande satisfaction du devoir accompli (que le but qu'il avait encore inscrit ce soir-là lui ressemblait !!!)... je me suis approché et j'ai échangé quelques mots avec lui, j'avais envie de lui exprimer une idée simple mais forte : l'importance qu'un joueur tel que lui pouvait avoir pour un supporter tel que moi...

Quel bel hommage! Il le mérite pleinement.

J'y ajouterais ses 6 buts contre le Beerschot parce que c'est un exploit rarissime.
Mais aussi toutes ses actions de match sans le ballon.
Il avait l'art d'user les défenseurs, et de trouver la faille dans le système de jeu adverse, où d'y ouvrir des brèches pour un coéquipier.
Il a gagné avec brio sa place dans le panthéon du club.

[jps]

un gars d'une simplicité , un respect incroyable quand je suis allé le salué a sa table ce vendredi il c'est levé comme ci j'étais plus important que lui, je l'avais accueillis à l'hôtel Ramada ou je travaillais à l'époque, à son arrivée à Liège ou il logeait au début de sa belle et longue carrière, nous avons discuté dix bonnes minutes , il se souvient de tous et m'a dit que c'est les plus beaux moments , son plus beau moment de toute sa carrière, il aime Liège , il aime et aimera toujours son Football Club Liégeois
Amitiés vrais Zvonko

[Mortimer]

Si d'autres générations ont eu d'autres joueurs à admirer : Carré et Anoul pour certains, Wégria pour d'autres, Courant, puis Sljivo... pour ma génération, ce fut Varga. Je crois que Zvonko restera toujours au sommet de mes souvenirs footballistiques... pour l'ensemble de son oeuvre, même si certains moments gardent une place spéciale :
- l'égalisation contre Benfica ou l'illustration de ce qu'est un renard des surfaces
- l'ouverture du score un soir d'automne 1988 face à la silhouette du haut-fourneau d'Ougrée, prélude à un 0-3 d'anthologie
- sur un terrain enneigé, par un froid de canard, quand il prit le ballon au centre du terrain, qu'il passa en revue quasi toute la défense du Club de Bruges avant de glisser le ballon à raz de terre et au raz du piquet de Jensen (???)... une impression rare mais véridique : ce soir-là, avant ce but, j'étais frigorifié; un courant chaud m'a littéralement traversé au moment de l'action et, après, je n'avais plus froid !!!
- un des derniers buts inscrits dans notre vaisseau de Rocourt, un soir de cette saison malheureuse 94-95 qui s'est traînée avec bien trop peu d'éclaircies... mais celle-là, d'un petit tir lobé au milieu d'une défense gantoise médusée, fut un énorme satisfaction
- le soir du titre 96, à Eupen, une heure après le match, tout le monde faisait la fête, Zvonko était là, paisible à observer l'agitation d'un air amusé, bien moins excité que les autres, joueurs ou supporters, mais dégageant une sérénité qui reflète la grande satisfaction du devoir accompli (que le but qu'il avait encore inscrit ce soir-là lui ressemblait !!!)... je me suis approché et j'ai échangé quelques mots avec lui, j'avais envie de lui exprimer une idée simple mais forte : l'importance qu'un joueur tel que lui pouvait avoir pour un supporter tel que moi...

Après Wégria, nous attendions depuis des années un remplaçant digne de lui, lorsque Zvonko est arrivé, on s'est dit "encore un transfert" "y a pas un jeune", "il est trop petit".... le forum sans internet
Et puis après un match c'était "il est meilleur que Wégria", et il l'était vraiment !
Par contre, Walter Rodenkamp est trop souvent oublié dans cette liste des célébrités rouges et bleues

[marc barça]

Si d'autres générations ont eu d'autres joueurs à admirer : Carré et Anoul pour certains, Wégria pour d'autres, Courant, puis Sljivo... pour ma génération, ce fut Varga. Je crois que Zvonko restera toujours au sommet de mes souvenirs footballistiques... pour l'ensemble de son oeuvre, même si certains moments gardent une place spéciale :
- l'égalisation contre Benfica ou l'illustration de ce qu'est un renard des surfaces
- l'ouverture du score un soir d'automne 1988 face à la silhouette du haut-fourneau d'Ougrée, prélude à un 0-3 d'anthologie
- sur un terrain enneigé, par un froid de canard, quand il prit le ballon au centre du terrain, qu'il passa en revue quasi toute la défense du Club de Bruges avant de glisser le ballon à raz de terre et au raz du piquet de Jensen (???)... une impression rare mais véridique : ce soir-là, avant ce but, j'étais frigorifié; un courant chaud m'a littéralement traversé au moment de l'action et, après, je n'avais plus froid !!!
- un des derniers buts inscrits dans notre vaisseau de Rocourt, un soir de cette saison malheureuse 94-95 qui s'est traînée avec bien trop peu d'éclaircies... mais celle-là, d'un petit tir lobé au milieu d'une défense gantoise médusée, fut un énorme satisfaction
- le soir du titre 96, à Eupen, une heure après le match, tout le monde faisait la fête, Zvonko était là, paisible à observer l'agitation d'un air amusé, bien moins excité que les autres, joueurs ou supporters, mais dégageant une sérénité qui reflète la grande satisfaction du devoir accompli (que le but qu'il avait encore inscrit ce soir-là lui ressemblait !!!)... je me suis approché et j'ai échangé quelques mots avec lui, j'avais envie de lui exprimer une idée simple mais forte : l'importance qu'un joueur tel que lui pouvait avoir pour un supporter tel que moi...

Après Wégria, nous attendions depuis des années un remplaçant digne de lui, lorsque Zvonko est arrivé, on s'est dit "encore un transfert" "y a pas un jeune", "il est trop petit".... le forum sans internet
Et puis après un match c'était "il est meilleur que Wégria", et il l'était vraiment !
Par contre, Walter Rodenkamp est trop souvent oublié dans cette liste des célébrités rouges et bleues

En effet

[Air Jipé]

Si d'autres générations ont eu d'autres joueurs à admirer : Carré et Anoul pour certains, Wégria pour d'autres, Courant, puis Sljivo... pour ma génération, ce fut Varga. Je crois que Zvonko restera toujours au sommet de mes souvenirs footballistiques... pour l'ensemble de son oeuvre, même si certains moments gardent une place spéciale :
- l'égalisation contre Benfica ou l'illustration de ce qu'est un renard des surfaces
- l'ouverture du score un soir d'automne 1988 face à la silhouette du haut-fourneau d'Ougrée, prélude à un 0-3 d'anthologie
- sur un terrain enneigé, par un froid de canard, quand il prit le ballon au centre du terrain, qu'il passa en revue quasi toute la défense du Club de Bruges avant de glisser le ballon à raz de terre et au raz du piquet de Jensen (???)... une impression rare mais véridique : ce soir-là, avant ce but, j'étais frigorifié; un courant chaud m'a littéralement traversé au moment de l'action et, après, je n'avais plus froid !!!
- un des derniers buts inscrits dans notre vaisseau de Rocourt, un soir de cette saison malheureuse 94-95 qui s'est traînée avec bien trop peu d'éclaircies... mais celle-là, d'un petit tir lobé au milieu d'une défense gantoise médusée, fut un énorme satisfaction
- le soir du titre 96, à Eupen, une heure après le match, tout le monde faisait la fête, Zvonko était là, paisible à observer l'agitation d'un air amusé, bien moins excité que les autres, joueurs ou supporters, mais dégageant une sérénité qui reflète la grande satisfaction du devoir accompli (que le but qu'il avait encore inscrit ce soir-là lui ressemblait !!!)... je me suis approché et j'ai échangé quelques mots avec lui, j'avais envie de lui exprimer une idée simple mais forte : l'importance qu'un joueur tel que lui pouvait avoir pour un supporter tel que moi...

Après Wégria, nous attendions depuis des années un remplaçant digne de lui, lorsque Zvonko est arrivé, on s'est dit "encore un transfert" "y a pas un jeune", "il est trop petit".... le forum sans internet
Et puis après un match c'était "il est meilleur que Wégria", et il l'était vraiment !
Par contre, Walter Rodenkamp est trop souvent oublié dans cette liste des célébrités rouges et bleues

Absolument!

Dans une moindre mesure Curcic. Il a largement participé à différents sauvetages miraculeux lors de nos mauvaises années.

[JoeDalton]

Si d'autres générations ont eu d'autres joueurs à admirer : Carré et Anoul pour certains, Wégria pour d'autres, Courant, puis Sljivo... pour ma génération, ce fut Varga. Je crois que Zvonko restera toujours au sommet de mes souvenirs footballistiques... pour l'ensemble de son oeuvre, même si certains moments gardent une place spéciale :
- l'égalisation contre Benfica ou l'illustration de ce qu'est un renard des surfaces
- l'ouverture du score un soir d'automne 1988 face à la silhouette du haut-fourneau d'Ougrée, prélude à un 0-3 d'anthologie
- sur un terrain enneigé, par un froid de canard, quand il prit le ballon au centre du terrain, qu'il passa en revue quasi toute la défense du Club de Bruges avant de glisser le ballon à raz de terre et au raz du piquet de Jensen (???)... une impression rare mais véridique : ce soir-là, avant ce but, j'étais frigorifié; un courant chaud m'a littéralement traversé au moment de l'action et, après, je n'avais plus froid !!!
- un des derniers buts inscrits dans notre vaisseau de Rocourt, un soir de cette saison malheureuse 94-95 qui s'est traînée avec bien trop peu d'éclaircies... mais celle-là, d'un petit tir lobé au milieu d'une défense gantoise médusée, fut un énorme satisfaction
- le soir du titre 96, à Eupen, une heure après le match, tout le monde faisait la fête, Zvonko était là, paisible à observer l'agitation d'un air amusé, bien moins excité que les autres, joueurs ou supporters, mais dégageant une sérénité qui reflète la grande satisfaction du devoir accompli (que le but qu'il avait encore inscrit ce soir-là lui ressemblait !!!)... je me suis approché et j'ai échangé quelques mots avec lui, j'avais envie de lui exprimer une idée simple mais forte : l'importance qu'un joueur tel que lui pouvait avoir pour un supporter tel que moi...

Pareil, Zvonko reste vraiment dans mon top éternel du club, à la fois pour son talent énorme que pour sa simplicité.
Même sur une vidéo floue on reconnait son style et sa classe inimitables.
Chaque époque a ses bons moments mais je pense que nous avons quand même eu beaucoup de chance de connaître cette période dorée, il est impensable aujourd'hui de voir de tels joueurs et surtout impensable de les voir crever les sommets en compagnie de joueurs liégeois qui n'auraient peut-être pas réussi la même alchimie ailleurs, les uns sans les autres.
Bon après, croiser Neba qui va prendre le bus place St Lambert ça fait tout de suite moins mythique

[b.simons]

Chaque époque a ses bons moments mais je pense que nous avons quand même eu beaucoup de chance de connaître cette période dorée

A fond !
mon père travaillait chez Marcel Baguette et comme il y avait un chantier au stade de Rocourt , je passais mes congés scolaires sur le site ... je voyais les joueurs arriver à l'entrainement et je reconnaissais leur voiture ( Zvonko en Toyota Célia bleu, Angelo Nijskens avec sa grosse Mercédès noire immatriculé en Allemagne etc ... ). Des joueurs d'une simplicité et d'une sympathie remarquable. Les entraînements de Robert Waseige ... quelle belle époque !

[anti-rouge]

Chaque époque a ses bons moments mais je pense que nous avons quand même eu beaucoup de chance de connaître cette période dorée

A fond !
mon père travaillait chez Marcel Baguette et comme il y avait un chantier au stade de Rocourt , je passais mes congés scolaires sur le site ... je voyais les joueurs arriver à l'entrainement et je reconnaissais leur voiture ( Zvonko en Toyota Célia bleu, Angelo Nijskens avec sa grosse Mercédès noire immatriculé en Allemagne etc ... ). Des joueurs d'une simplicité et d'une sympathie remarquable. Les entraînements de Robert Waseige ... quelle belle époque !

[Air Jipé]

Chaque époque a ses bons moments mais je pense que nous avons quand même eu beaucoup de chance de connaître cette période dorée

A fond !
mon père travaillait chez Marcel Baguette et comme il y avait un chantier au stade de Rocourt , je passais mes congés scolaires sur le site ... je voyais les joueurs arriver à l'entrainement et je reconnaissais leur voiture ( Zvonko en Toyota Célia bleu, Angelo Nijskens avec sa grosse Mercédès noire immatriculé en Allemagne etc ... ). Des joueurs d'une simplicité et d'une sympathie remarquable. Les entraînements de Robert Waseige ... quelle belle époque !

C'est tout à fait ça! Quelle belle mentalité affichée par ce groupe.
Quel esprit d'équipe. Liège a joué deux quarts de finale de coupe d'Europe, personne ne se prenait le melon.

On cite souvent les Varga, Ernes, Veyt, Stojic ... mais que dire de l'état d'esprit exceptionnel (et la gentillesse) d'un joueur comme Bernard Habran, aux antipodes des starlettes. Pas titulaire, mais toujours prêt quand le chef avait besoin de lui.
Il y avait plus fort que Liège sur le papier, mais la mentalité était largement au dessus de tous les autres clubs du championnat.

Comme Joe, nous avons eu la chance de connaître ce groupe exceptionnel.

[Liers62]

Moi, mon préféré c'était feu Jean-Marie Hannay!

[hraskinet]

Et bien moi ceux qui m'ont le plus marqués quand j'ai commencé à aller au stade c'est sans conteste Curcic et Rodekamp.
Avec eux deux, y avait du spectacle et du folklore.

[CEW 66]

Moi : Varga-Stojic-Guisto-Munaron-Thans et Ikpeba

[Air Jipé]

Vliegen.